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Justin Baldoni aurait rendu d'autres femmes inconfortables en tournage: voici ce que Blake Lively et la distribution ont à dire

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Cover Media et Sarah-Maude De Rive

20 février à 7h
21 février à 16h49
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Blake Lively a affirmé que son réalisateur et collègue Justin Baldoni avait mis d'autres femmes «mal à l'aise» sur le tournage de It Ends with Us, ce qui pourrait avoir un lien avec la plainte d'une autre actrice du film.

Getty Images via AFP
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• À lire aussi: Blake Lively aurait manipulé ses collègues pour contrôler les films où elle joue – son comportement critiqué au sein de sa dispute avec Justin Baldoni 

• À lire aussi: Blake Lively contre Justin Baldoni: qui de la distribution et du reste d'Hollywood est de quel côté du conflit? 

Dans sa plainte nouvellement modifiée pour harcèlement sexuel et diffamation déposée mardi, l'ancienne vedette de Gossip Girl a affirmé que d'autres femmes pouvaient corroborer ses accusations contre Justin Baldoni.

Ses avocats Esra Hudson et Mike Gottlieb ont déclaré à Deadline et People que la plainte «fournit des preuves supplémentaires significatives et corrobore ses revendications initiales» et inclut «des communications précédemment non divulguées impliquant Mme Lively, des représentants de Sony et de Wayfarer, ainsi que de nombreux autres témoins».

La plainte indique: «Plus important encore, le faux récit des défendeurs s'effondre face à la vérité indiscutable que Mme Lively n'était pas la seule à se plaindre de M. Baldoni et qu'elle a fait part de ses inquiétudes au moment même où elles sont apparues en 2023, et non dans le cadre d'un jeu de pouvoir imaginé pour le contrôle du film en 2024».

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«Les expériences de Mme Lively et d'autres ont été documentées au moment où elles se sont produites, à partir de mai 2023. Fait important, et contrairement à tout le récit que les défendeurs ont inventé, M. Baldoni a reconnu les plaintes par écrit à l'époque. Il savait que d'autres femmes que Mme Lively étaient également mal à l'aise et s'étaient plaintes de son comportement», peut-on lire également.

Le porte-parole de Blake Lively a affirmé à People que les documents judiciaires montrent que «d'autres femmes ont confié à Blake leur malaise et leur peur de se manifester, ainsi que leur inquiétude face au vitriol public actuel». Ces femmes, qui n'ont pas été nommées dans le document modifié, ont accepté de témoigner lorsque l'affaire sera jugée en mars 2026 et de produire les documents nécessaires au cours de la procédure de communication de pièces.

Cette révélation pourrait bien avoir un lien avec les actions judiciaires entreprises par Jenny Slate, qui joue la soeur du personnage de Justin Baldoni dans le film. Selon The Hollywood Reporter, l'actrice dont le nom a depuis été supprimé figurait originalement dans cette même plainte de sa covedette; il y est indiqué que Mme Slate a déposé sa propre plainte auprès de leur distributeur (Sony) contre Jamey Heath, le président de la société de production de Baldoni, Wayfarer.

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Ses accusations auraient été faites après qu'elle ait exprimé à Heath qu'elle n'était pas ravie de l'appartement qu'elle avait loué pendant le tournage du film, mais qu'elle ne voulait pas perdre le dépôt de garantie de 15 000 dollars. Heath aurait dit à Slate que Wayfarer lui rembourserait le dépôt de garantie afin qu'elle puisse trouver un meilleur logement. C'est au cours de cette discussion que le producteur aurait fait une fixette sur la maternité et son rôle de mère, d'une manière si perturbante qu'elle l'aurait dénoncé.

Outre les actions pour harcèlement sexuel, les avocats de Mme Lively ont ajouté une nouvelle plainte pour diffamation en raison des «fausses déclarations répétées que les défendeurs ont faites au sujet de Mme Lively depuis qu'elle a déposé sa plainte initiale». La plainte ajoute également deux nouveaux défendeurs, la société de relations publiques Street Relations et son fondateur Jed Wallace. Ce dernier a déjà nié avoir participé à une campagne de dénigrement contre Blake Lively et l'a poursuivie en justice pour diffamation au début du mois.

Justin Baldoni a vu son équipe réagir à cette nouvelle action prise par l'actrice. Bryan Freedman, son avocat, a décrit à People cette plainte comme étant «remplie d'ouï-dire non fondés de personnes anonymes qui ne sont manifestement plus disposées à se manifester ou à soutenir publiquement ses affirmations».

Rappelons qu'il poursuit également Blake Lively et son mari Ryan Reynolds pour diffamation et extorsion, dont le procès est prévu pour mars 2026.

Adapté pour Billie.ca par Sarah-Maude De Rive

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