Boucar Diouf s'ouvre sur le choc linguistique qu'il a vécu en arrivant au Québec, et voici ses expressions préférées
Anabelle St-Pierre
La dernière fois que Boucar Diouf est venu nous voir, il nous a parlé du choc thermique qu’il a vécu en arrivant au Québec Aujourd’hui, il nous parle du choc « linguistique » qu'il a vécu, de ce qu’il trouve de plus beau (et drôle) dans la parlure d'ici et de ses expressions québécoises préférées.
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Lorsqu’il est arrivé au Québec, Boucar Diouf s’attendait à un choc culturel, mais il n’avait pas prévu le choc linguistique! Il ne pensait pas que comprendre les Québécois serait un défi en soi. Même en ayant eu des professeurs québécois, certaines expressions l’ont laissé perplexe. « Faque », « yenka », « acrère »... autant de mots mystérieux qui lui ont causé quelques moments d’angoisse au début. Avec son regard humoristique, Boucar nous explique aussi sa théorie: selon lui, la parlure québécoise s’est adaptée aux hivers rigoureux, à grands coups d’expressions colorées et de raccourcis linguistiques. Et en comparant le français d’ici avec celui de l’Afrique, il nous fait découvrir des expressions équivalentes, qui prouvent que peu importe le climat, on trouve toujours des façons imagées d’exprimer le quotidien!
Revoyez le segment avec Boucar dans la vidéo en tête de cet article
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