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Culture

Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin, plus soudés que jamais

Photo : Julien Faugere / TVA Pu
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Michèle Lemieux

2023-01-31T12:00:00Z
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La dernière année a été rythmée par de grandes émotions pour Émily Bégin et Guillaume Lemay-Thivierge. Mais les épreuves ont renforcé leur engagement et leur détermination à être là l’un pour l’autre. Alors qu’ils nous présentent leur nouveau projet intitulé Avec pas de plan!, Émily et Guillaume ont accepté de revenir sur les événements marquants de 2022.

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Émily et Guillaume, vous nous proposez une nouvelle émission intitulée Avec pas de plan!. Pouvez-vous nous donner un avant-goût de ce docuréalité?

Guillaume: Au cours de la série, nous construisons une minimaison, mais ce n’est qu’un prétexte pour suivre et observer un couple qui se lance dans des projets un peu fous. Notre but est de bâtir une minimaison, mais ça ne va pas du tout comme nous l’avions prévu. Les gens verront toutes les embûches qu’on rencontre et qui nous obligent à changer de direction. Au bout du compte, on n’aboutit pas du tout au résultat qu’on avait prévu.

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Émily: En raison des imprévus, nous sommes arrivés à un autre résultat. En cours de route, la productrice a proposé d’intituler l’émission Avec pas de plan!, puisque nous étions toujours en train de changer de cap. Nous devions improviser. À un moment donné, mon chum m’a même dit: «On arrête tout!» Il était cerné comme ce n’est pas possible!

G.: Nous avons encouragé beaucoup d’entrepreneurs québécois et nous sommes allés les voir à différents endroits au Québec. Durant le processus, le lieu, le modèle... tout a changé! Rien n’allait bien concernant les délais, les permis, les matériaux. Nous n’avions que des contraintes — et nous les montrons dans le docuréalité. Rien n’est «stagé», tout est vrai.

É.: Au terme du processus, nous sommes quand même fiers du résultat. Dans la série, nous sommes comme dans la vraie vie: authentiques. On voit mes parents et nos enfants. Nous avons vécu l’aventure en famille. Comme nous construisions cette minimaison sur une île, il fallait tout transporter par bateau... Et puisqu’elle est située dans la région de Mont-Tremblant, ce n’est pas à côté...

G.: C’est un endroit où nous sommes bien à ne rien faire. Il est rare que nous nous arrêtions pour en profiter. 

Je présume que l’expérience a aussi été un grand test pour le couple...

É.: Oui, mais depuis que nous sommes ensemble, Guillaume et moi, nous faisons beaucoup de rénovations. Actuellement, nous rénovons nos salles de bains à Saint-Sauveur...

G.: En huit ans, nous avons vécu huit déménagements... 

Comment faites-vous pour survivre à autant de changements?

G.: Notre secret, c’est de relativiser les choses et de communiquer. Nous nous disons souvent que nous sommes privilégiés. Même lorsque survient une épreuve, nous sommes convaincus que nous allons la traverser. Plus nous sommes ensemble, plus nous sommes forts ensemble.

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Photo : Julien Faugere / TVA Pu
Photo : Julien Faugere / TVA Pu

É.: Nous voulons évoluer, personnellement et en couple. C’est facile de mettre un terme à une relation. C’est beau d’être capables de rester. Nous sommes dans la routine familiale, nos projets et la rénovation.

G.: Pour la prochaine année, nous avons d’autres projets encore plus fous! J’ai un côté hyperactif; Émily l’est un peu moins que moi. Parfois, c’est Émily qui mène, alors que j’ai besoin de me retirer, et inversement.

Parmi les beaux événements, il y a eu votre mariage, après deux ans d’attente...

É.: Oui. Nous nous sommes mariés l’an passé. Dans le cadre de notre mariage, nous avons voulu soutenir des fondations. Nous avons amassé 40 000 $, alors nous avons remis 10 000 $ à quatre fondations qui nous tiennent à cœur. 

Photo : Julien Faugere / TVA Pu
Photo : Julien Faugere / TVA Pu

G.: Il y a eu le mariage, mais aussi sa préparation. Ça a duré presque deux ans. Pendant le mariage, j’ai redécouvert mes enfants. Ils étaient habillés chic grâce à Andrew, le styliste et ami d’Émily, qui nous a aidés pour le choix des tenues. Les garçons étaient beaux à voir et ma fille était ravissante dans sa robe. Émily avait tout préparé. Jason Roy Léveillée et Mariana Mazza étaient présents. Nous avons eu tout un party! Les gens ont pris plaisir à danser. Bref, ç’a été un rassemblement festif extrêmement puissant. Et pour ajouter à tout cela, nous avons découvert un coin du monde qu’il faudrait tous avoir la chance de visiter un jour...

Il est ici question de votre voyage de noces, je présume?

G.: Oui, en Grèce. Ma mère m’en avait parlé, mes oncles aussi. Tous ceux qui sont allés en Grèce dans mon entourage m’avaient vanté ce pays, et j’ai finalement compris pourquoi. 

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É.: C’était la première fois que nous y allions.

G.: C’est un endroit rempli de perspectives, tout en hauteur. Nous avons visité les îles Mykonos et l’archipel Santorin. Du haut des falaises, on voit la mer en contrebas. Elle est d’un bleu incroyable! J’ai tellement été charmé par la Grèce que j’y retournerais demain matin. La gentillesse des commerçants, des vendeurs, des restaurateurs est remarquable. Les gens sont souriants. Ils sont bienveillants et fiers. Nous avons marché dans des rues étroites. On sentait l’histoire et le dépaysement à chaque pas. Nous avons découvert des endroits absolument fantastiques!

Ce voyage a-t-il été l’occasion de vous adonner à différentes activités?

G.: Nous avons profité de ce séjour pour explorer. Nous nous sommes promenés en voiture et à pied. Nous avons visité un vignoble. Nous avons découvert des points de vue magnifiques. Les gens sur place nous conseillaient de nous perdre dans les rues, et c’est ce que nous avons fait.

Il faut quand même admettre que vous n’avez pas souvent l’occasion de vous retrouver seuls, en tête à tête, tous les deux...

É.: Tout à fait! Ç’a réellement été l’occasion de nous retrouver seuls, en couple, sans les enfants.

G.: Effectivement. Émily et moi, nous étions de jeunes nouveaux mariés. C’est vrai que nous n’avons pas souvent l’occasion d’être seuls. Nous sommes une famille moderne recomposée. Ma fille débarque de temps en temps sans trop que nous sachions quand elle viendra, car ça dépend de ses plans. Elle aura 22 ans, alors c’est normal. Elle n’a pas d’appartement, mais elle a plusieurs maisons, celles de ses parents et de ses amis, et elle se promène. Miro et Manoé, les deux garçons que j’ai eus avec Mariloup, sont avec nous une semaine sur deux, et Théodore est toujours avec nous. Ça demande de la gestion, de l’organisation. Il y a l’école, les devoirs, les soupers, les lunchs, les activités. Ça roule, une famille! Souvent, lorsque nous voyons des gens voyager en famille, Émily et moi prenons le temps de leur dire: «Bravo!» Nous savons ce que ça représente. Nous les trouvons courageux.

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Photo : Julien Faugere / TVA Pu
Photo : Julien Faugere / TVA Pu

En même temps, beaucoup de joie accompagne votre statut de parents!

G.: Oui, et c’est si précieux! J’ai enseigné à tous mes enfants à faire du ski alpin. C’est mon sport de prédilection. Récemment, quand Théodore, mon petit dernier, est arrivé au bas de la pente après que je lui aie enlevé tous les accessoires pour l’aider, je lui ai tapé dans la main: il était devenu un skieur complètement autonome. Ça, ça fait partie des moments dont je suis très fier. La vie est faite de ces petites victoires... Moi, je ne peux pas aider mes enfants avec leurs devoirs, car j’ai beaucoup de difficulté avec ça. Préparer les lunchs, c’est une angoisse pour moi. Mais montrer à mes enfants à skier, c’est mon domaine.

Photo : Julien Faugere / TVA Pu
Photo : Julien Faugere / TVA Pu

 

Guillaume, comment vos enfants évoluent-ils?

G.: Charlie a été acceptée dans une école de jeu, de scénarisation et de réalisation à Vancouver. Elle veut vraiment faire ce métier. Elle partira au cours de l’année à venir. L’an dernier, elle est allée étudier dans une université en Angleterre pour apprendre l’anglais. Puis, elle est allée en Espagne pour apprendre l’espagnol. Papa est vraiment fier de sa fille, qui parle trois langues. Du côté des garçons, mon aîné, Manoé, est un passionné de jeux vidéos. C’est celui qu’on appelle quand on a un problème avec la technologie. Quant à Miro, c’est un sportif. Comme tous mes enfants, il aime le ski, mais aussi le patin, et il est passionné de soccer. Le petit dernier, Théodore, est un enfant lumineux, gentil, empathique. Il est très reconnaissant. Il est en amour avec ses frères, sa grande sœur et ses parents. 

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Photo : Julien Faugere / TVA Pu
Photo : Julien Faugere / TVA Pu

Alors finalement, la vie est bonne à tous les égards!

G.: Oui, et elle est belle. Notre vie est remplie de projets magnifiques, tous différents les uns des autres. S’il y a une deuxième saison d’Avec pas de plan!, nous projetons d’aller tourner en Gaspésie. J’aimerais aussi faire un projet avec l’œuvre d’Yvon Deschamps, qui m’a déjà donné son aval. C’est un être exceptionnel qui a fait connaître le Québec et j’aimerais le faire connaître aux plus jeunes générations. Le film Fais-toi une belle vie est toujours dans l’air. Et puis je rêve de démarrer une boîte de pub, car je suis un fan de publicité. Émily et moi aimons l’action. 

Photo : Julien Faugere / TVA Pu
Photo : Julien Faugere / TVA Pu

Vous avez beaucoup de projets en chantier on dirait...

É.: Oui. Et cette année, nous célébrons les 20 ans de Star Académie. La première édition s’est tenue en 2003. Je célébrerai donc mes 20 ans de carrière le 16 février. Ce jour-là, il y a 20 ans, je montais sur la scène de l’Académie. Le lendemain, je faisais la première page du Journal de Montréal... G.: De mon côté, je célèbre cette année mes 40 ans de carrière. Chanteurs masqués revient pour une troisième saison et Si on s’aimait sera aussi de retour pour une quatrième saison. Nous tournerons sous peu Si on s’aimait encore, une nouvelle émission au sein de laquelle on verra de vrais couples. 

É.: De l’avis de Louise Sigouin, ce sera touchant, bouleversant. À suivre...

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Avec pas de plan! sera disponible sur la plateforme VRAI dès le 31 janvier. À venir bientôt: la saison 4 de Si on s’aimait et Si on s’aimait encore. Guillaume animera la saison 3 de Chanteurs masqués.

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