Grande romantique, Mariana Mazza aimerait connaître le grand amour
François Hamel
Mariana Mazza pilote l’un des quatre épisodes de la nouvelle série Pour un soir seulement et elle a choisi de recréer pour l’occasion une atmosphère de lutte, le sport-spectacle, pas celle qu’on voit aux Jeux Mariana Mazzaolympiques. L’humoriste nous parle de cette expérience et, à l’approche de la Saint-Valentin, précise sa vision de l’amour, telle qu’elle l’a abordée lors de son récent passage à La Tour.
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Mariana, pour ton épisode de Pour un soir seulement, ton équipe et toi avez transformé le bar montréalais Foufounes électriques en véritable arène de lutte. Es-tu vraiment une passionnée de ce sport?
Je l’étais quand j’étais jeune. La lutte a bercé mon enfance, soit tout mon primaire. L’un de mes trois grands frères en était passionné et je me suis mise à suivre ça, moi aussi.
Qui sont tes invités pour l’occasion?
Korine Côté, Katherine Levac, Dave Morgan, P-O Forget et Simon Delisle. Au préalable, on avait fait des séances de brainstorming, entre autres pour développer nos différents personnages de lutte. Pendant un après-midi, on a même suivi des cours de lutte avec Marko Estrada, pour bien savoir tomber sans se faire mal.
Tes invités et toi, vous êtes-vous tous adonnés à ce sport pour l’occasion?
Non, pas Korine Côté, ni Katherine Levac et Simon Delisle. Tu étais récemment de passage à l’émission La Tour et certaines de tes déclarations ont été très touchantes. Entre autres, lorsqu’on t’a demandé: «Si tu pouvais savoir une chose que l’avenir te réserve, ce serait quoi?», tu as répondu que tu aimerais savoir si tu allais un jour connaître le grand amour.
Es-tu une personne romantique?
Ben oui, vraiment! Je voudrais connaître ce qu’est le grand amour. Est-ce comme dans les films? Ce type d’expérience où tu dis: «Mon Dieu, c’est toi que j’attendais toute ma vie!» Plusieurs personnes ne le connaîtront jamais. Ce grand amour n’est peut-être pas réel. En fait, il peut arriver à différentes phases de ton existence. Chaque personne comble ta vie à ce moment-là, et d’une certaine façon, selon l’endroit où tu es rendu. La bonne personne existe, chaque fois, selon le moment de vie que tu traverses. J’ai toujours été une grande romantique. Ça ne m’intéresse pas de savoir ce qui va arriver à ma carrière, mon argent ou mon corps. Mais je me suis toujours demandé si, un jour, j’allais rencontrer quelqu’un qui me fera dire: «Ah! C’est comme dans les films!» C’est mon côté romantique, celui que j’ai depuis que je suis une jeune ado, avec toutes ces histoires de princesses et de princes charmants.
As-tu connu le grand amour jusqu’à maintenant?
Je l’ai connu de différentes façons. À 15 ans, le copain que j’avais, c’était mon grand amour, mais j’avais 15 ans.
Combien de temps votre histoire a-t-elle duré?
Huit mois. Le copain que j’ai eu pendant les sept dernières années m’a comblée lui aussi, à sa façon, parce que j’étais rendue à une autre période de ma vie. Chose certaine, au cours de ma vie, j’ai eu la chance de ne pas vivre de relation toxique. J’ai eu deux grands amoureux, deux copains qui ont tracé mon parcours amoureux. Avec le premier, ç’a fini tragiquement parce qu’il m’a trompée et qu’il est parti avec une autre. J’ai eu besoin de vivre cette grande tristesse amoureuse. Je pense que chaque humain qui est de passage dans notre vie nous apporte quelque chose, et vice versa. Au cours de toute une vie, nos relations amoureuses ne se résument pas à une seule personne. Je n’y ai jamais cru.
Les quatre épisodes de Pour un soir seulement seront disponibles sur Prime Video dès le 10 février. L’humoriste poursuit aussi sa tournée Impolie. Pour connaître les dates: marianamazza.com.
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