Mariloup Wolfe s’ouvre sur les défis de la conciliation travail-famille
Michèle Lemieux, Adapté par Cassandre Caron
Après avoir traversé une année en dents de scie, Mariloup Wolfe constate que la période a eu du bon. En fin de compte, malgré l’incertitude ambiante, l’année 2020 fait encore plus apprécier sa vie. En cette fin d’année, Mariloup s’ouvre sur la conciliation travail-famille parfois difficile dans notre dernier numéro.
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«C’est toujours mon défi. Lorsque j’ai annoncé à mon plus jeune que j’allais tourner à Québec, il s’est mis à pleurer. Je lui ai expliqué que j’allais m’absenter trois semaines et demie et que, la moitié du temps, il serait avec papa. Aussi, je veux m’organiser pour que mes fils viennent sur place. Nous allons prendre le train, vivre à l’hôtel, aller glisser. Je tente de présenter la chose comme une belle expérience. Mais je ne peux pas mentir: je ressens toujours une certaine culpabilité que je n’arrive pas à dépasser complètement. Je ne sais pas comment y arriver... (sourire)» a révélé la réalisatrice.
«J’essaie toujours de me garder certains moments avec eux. Cette année, j’avais réservé mon mois de juillet pour partir en pack-sack pendant cinq semaines en Asie avec mes fils, mais les voyages ont été annulés. Par contre, nous avons bien profité du confinement.»
Lisez le reste de l’entrevue dans le magazine 7 Jours actuellement en kiosque.