Geneviève Everell, cover girl Clin d’œil: «C’était sur ma wish list, faire un cover»
Clin d'oeil
Geneviève Everell est un livre ouvert. Depuis des mois, la femme de tête et de cœur derrière l’entreprise Sushi à la maison se livre sans artifices dans ses stories Instagram «Cher journal». Elle y aborde différents aspects de son parcours après avoir appris, en janvier dernier, qu’un cancer s’était développé dans son sein gauche.
En entrevue pour l'important numéro rose octobre-novembre, maintenant en kiosque, elle se prête au jeu des questions avec beaucoup d’authenticité et de spontanéité.
Elle nous parle de la première fois qu’elle a mangé des sushis, à l’hiver 2006: «Je m’en souviens précisément parce qu’à l’été 2006, je commençais à travailler dans un restaurant de sushis, et ça a changé ma vie.»
Son premier crush célébrité est Devon Sawa dans le film Casper. La femme d’affaires avait craqué pour «la petite coupe champignon».
Fière d’être enfin cover girl, elle avoue que c’était sur sa wish list de faire la couverture d'un magazine: «J’ai vraiment hurlé quand j’ai su. C’est ma meilleure amie, qui est aussi ma directrice générale, qui m’a avisée du courriel. Elle m’a dit: «Geneviève, es-tu assise?», car elle savait que j’allais vraiment être honorée.»
«J’aurais aimé le faire en moi, c’est-à-dire avec mes cheveux longs. Mais c’est comme un honneur de le faire pour représenter de façon momentanée toutes ces femmes qui partagent leur corps avec la maladie», conclut-elle.
Écoutez l’entrevue complète de Geneviève Everell en cliquant sur la vidéo ci-dessus.