Alexandre Barrette révèle quel campeur l’a le plus surpris dans Sortez-moi d'ici!
Nathalie Slight
En tant qu’animateurs de Sortez-moi d’ici!, Jean-Philippe Dion et Alexandre Barrette sont aux premières loges pour voir les campeurs affronter leurs plus grandes peurs. L’émission étant rendue à mi-saison, Alexandre Barrette nous donne ses impressions sur l’aventure dans la jungle panaméenne.
Alexandre, comment trouves-tu l’aventure des campeurs jusqu’à présent?
Je m’étais vraiment attaché aux participants de la première saison et je me suis demandé si ce serait la même chose avec les campeurs cette année. La réponse est oui! L’ambiance est différente, ils sont plus drôles, plus volubiles, mais tout aussi captivants à voir aller.
Quel défi a été le plus saisissant selon toi?
Le fil de fer tendu au 53e étage en plein centre-ville de Panama City! Bravo à Philippe Laprise et à Sophie Durocher, qui ont affronté une de leurs plus grandes peurs. Mon rôle à l’émission, c’est de taquiner les campeurs. Mais en vérité, je suis admiratif de leur bravoure. Voir des gens faire preuve d’un dépassement de soi plus grand que nature, ça me touche profondément.
Pour Sébastien Toutant par contre, ce défi a semblé plus facile!
Même si c’est un snowboardeur professionnel habitué aux émotions fortes, il a vraiment tripé à effectuer la traversée, parce qu’il s’agit d’une épreuve unique, conçue spécialement pour l’émission. (Alex réfléchit et ajoute:) Sébastien a été le premier campeur éliminé et, sincèrement, son départ a été un crève-coeur. C’est un athlète, un gars d’équipe, doté d’une force mentale extraordinaire. Plusieurs campeurs le voyaient en finale. Mais c’est justement ça, la beauté de Sortez-moi d’ici!: la première épreuve lors des galas de la jungle a une valeur d’estimation. Comme elle relève un peu du hasard, tous les campeurs ont une chance égale de poursuivre l’aventure.
Pendant la toute première émission de cette saison, tu as averti les campeurs que les défis seraient plus corsés, et c’est vrai!
On l’a vu entre autres avec celui où Patricia Paquin était enfermée dans une cuve qui se remplissait d’eau avec des serpents de plus en plus gros. Plusieurs personnes de mon entourage m’ont parlé de ce défi, m’ont dit à quel point c’était un cauchemar. Mais sincèrement, si ma vie en dépendait, je choisirais ce défi sans hésitation, bien avant celui du fil de fer! (rires)
Quel campeur t’a le plus surpris lors de la vie au camp?
Je pense que tout le monde gagne à participer à Sortez-moi d’ici!, parce que l’aventure nous permet de découvrir une nouvelle facette de la personnalité des vedettes québécoises. Sophie Durocher, par exemple, avait un côté touchant qu’elle ne dévoile pas nécessairement au public à travers ses articles et ses entrevues. Rosalie Vaillancourt a aussi gagné le coeur des téléspectateurs!
De quelle façon?
Dans la jungle, elle laisse tomber son personnage de scène. On découvre donc une Rosalie plus sensible. D’ailleurs, c’est ce que ma mère m’a dit; elle est tombée sous le charme de Rosalie. Même chose pour Audrey Roger, qui possède une personnalité super agréable, à l’opposé des personnages troublés qu’elle campe dans les séries télé. Dave Morissette, lui, a pris sous son aile ces deux jeunes femmes, comme si c’était ses propres filles.
Dave est un peu le papa du groupe!
J’ignore si les autres campeurs le voyaient comme une figure paternelle, mais, chose certaine, Dave est un véritable gars d’équipe. Moi, j’irais à la guerre avec ce gars-là, parce que je suis persuadé qu’il ne me laisserait jamais tomber!
Sortez-moi d’ici!, le dimanche à 18 h 30, à TVA.