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L'article provient de Salut Bonjour

Adopter le slow parenting : pourquoi ralentir peut être bénéfique pour votre famille

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2025-01-12T13:18:32Z
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L’année 2025 est commencée et l’on reprend la routine en famille. Ce n’est pas toujours facile de s’y remettre après le congé des fêtes. On en a souvent profité pour ralentir un peu et comme parents, ça se peut qu’on n’ait pas envie de repartir dans le tourbillon métro-boulot-dodo... 

C’est dans ces moments-là qu’on prend conscience que parfois ça fait du bien de ralentir et que notre quotidien va peut-être un peu trop vite. Si on n'a pas envie de reprendre la routine, c’est peut-être qu’il y a des ajustements à faire.

Il est peut-être temps de commencer le slow parenting.

C’est quoi au juste le slow parenting ?

C’est un mouvement né aux États-Unis dans les années 2000 qui mise sur une éducation et un mode de vie plus lent et conscient pour ralentir le rythme et trouver le bon tempo qui convient à l’ensemble de notre famille. L'idée n'est pas nécessairement d'en faire moins, mais plutôt de faire les choses différemment. 

  • Prendre son temps dans sa façon d’être parent. 
  • Profiter de l’instant présent et créer du lien.  

Quels sont les bienfaits :

  • Permets de mieux connaitre ses enfants 
  • Contribue à la relation parents-enfants 
  • Respecte le rythme naturel de l’enfant 
  • Favorise l’exploration, l’autonomie, la créativité 
  • Permets de connecter ensemble chaque jour  

Comment peut-on concrètement ralentir sa vie de famille ?

L’idée derrière le slow parenting ce n’est pas de ne plus s'engager dans des activités. L'important est plutôt que, même durant ces moments, on ait la capacité d'être pleinement présents. Ça ne prend pas toute réorganisation de sa vie pour trouver du temps qui va nous permettre de connecter ensemble.

Comment faire :

  • Se dégager du temps en revoyant ses priorités 
  • Permettre aux enfants de s’ennuyer 
  • Limiter les écrans ... pour tous 
  • Miser sur le temps de qualité plutôt que sur la quantité 
  • Prévoir des temps « off »  

Pour plus de détails, écoutez la chronique de Mélanie Bilodeau.

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