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L'article provient de TVA Nouvelles
Justice et faits divers

«Convoi de la liberté»: 6 développements majeurs du conflit à Ottawa

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TVA Nouvelles

2022-02-07T20:26:53Z
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Depuis maintenant 10 jours, des manifestants qui ont pris part au «convoi de la liberté» contre les mesures sanitaires paralysent le centre-ville d’Ottawa. Voici 6 développements majeurs à savoir sur le conflit : 

• À lire aussi: Le chef de police d'Ottawa demande 1800 agents en renfort

• À lire aussi: Blocage du ravitaillement: l’étau se resserre autour du convoi à Ottawa

• À lire aussi: Manifestation à Ottawa : «on a abdiqué dès le début!»

1. Ravitaillement bloqué  

Après un second week-end où les manifestants ont fait la fête, les policiers se sont activés dimanche soir. Ils ont décidé de couper les vivres où aux camionneurs qui se sont installés devant la colline parlementaire. Au moins sept personnes qui tentaient de fournir de la nourriture et de l’essence ont été arrêtées.

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2. État d’urgence  

La maire d’Ottawa, Jim Watson, a déclaré l’état d’urgence dimanche. Selon ce dernier, celle-ci permettra «d’assurer des services essentiels pour ses résidents ainsi que d’habiliter un processus d’approvisionnement plus flexible, favorisant ainsi l’achat de l’équipement nécessaire aux travailleurs de première ligne et aux premiers intervenants».

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3. Besoin de renfort  

Lundi, le chef de police d’Ottawa a demandé 1800 agents en renfort pour appuyer son service de police qui ne compte que 1200 membres. Le maire d’Ottawa a également fait cette demande aux premiers ministres Justin Trudeau et Doug Ford.

Photo d'archives, Agence QMI
Photo d'archives, Agence QMI

4. Médiateur  

Le maire d'Ottawa, Jim Watson, a aussi demandé à Justin Trudeau de nommer un médiateur pour mettre un terme à l'occupation des camionneurs.

Photo d'archives, Agence QMI
Photo d'archives, Agence QMI

5. Demande d’injonction  

Au nom des résidents du centre-ville d’Ottawa, un avocat a déposé une demande d’injonction pour le bruit causé par le convoi cesse. Un juge a accepté la demande lundi après-midi. Pendant 10 jours, les camionneurs n’auront plus le droit de klaxonner incessamment.

Écoutez la rencontre des analystes politiques Elsie Lefebvre et Marc-André Leclerc sur QUB radio 

6. Armée?  

La possibilité de faire appel aux Forces armées canadiennes pour résoudre la situation a jusqu’ici été écartée par Justin Trudeau. La semaine dernière, le premier ministre avait plutôt demandé aux forces policières de «faire leur job».

AFP
AFP

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