Varda Étienne cherche l'âme soeur : «Ça prendra le temps que ça prendra.»
Frédérique De Simone
L’animatrice Varda Étienne cherche l'âme soeur. C'est ce qu'elle a révélé à Marie-Claude Barrette dans le cadre du balado Ouvre ton jeu. Elle a même admis avoir payé une agence de rencontre pour trouver la personne idéale, celle qui correspondra à tous ses critères.
• À lire aussi: Varda Étienne révèle avoir vécu une période sombre en janvier dernier
• À lire aussi: Varda Étienne dévoile un avant/après de la métamorphose de sa cour arrière
Son homme idéal doit avoir de petites poignées d’amour, une calvitie et un vaste bassin de connaissances ou un niveau intellectuel élevé.
«Je n’ai pas une attirance pour les hommes qui ont une plastique parfaite. Je trouve ça lourd [...]. Un petit peu de bourrelets, je ne hais pas ça, moi. Un homme brillant, pas de cheveux de préférence», a-t-elle décrit dans un premier temps, confiant être «super sapiosexuelle».
«Pour moi, la perfection ou mon idéale, ce serait le mélange de mes deux ex-maris», a-t-elle ajouté, révélant avoir toujours eu un homme de «backup» à sa portée, mais être célibataire depuis 3 ans maintenant.
«J’ai payé à fort prix une agence de rencontre et je me dis que ces personnes-là vont faire tout le travail que je n’ai pas le temps de faire. Ils vont scruter à la loupe et vraiment trouver la personne qui va corresponde à tous les critères que je cherche. Ça prendra le temps que ça prendra», a poursuivi l’animatrice qui souhaite avoir une relation égalitaire.
Un mois de janvier difficile
Au cours de l’épisode, Varda a également avoué avoir eu un mois de janvier difficile sur le plan personnel. Sa plus jeune est devenue adulte, son fils qui étudie aux États-Unis est reparti sur son campus et la fatigue s’est fait sentir, si bien que l’animatrice du nouveau balado Parlons sexe avec Varda a eu un épisode de dépression important alors qu’elle n’en avait pas eu depuis longtemps.
Elle est cependant passée au travers grâce aux bons soins de son psychiatre, avec qui elle collabore depuis plus de 30 ans, et de son noyau familial tissé serré.
