Une autre tuile était tombée sur la tête de Liam Payne avant son décès
Rosalie Simard
L'historique ayant mené à la fatidique journée du 16 octobre 2024 connaît une autre révélation sombre sur l'ex-membre de One Direction.
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Liam Payne est tombé vers sa mort le 16 octobre dernier, au CasaSur Palermo hotel de Buenos Aires, en Argentine. Depuis cette journée sombre, une panoplie de détails plus déchirants les uns que les autres se déroule sous les yeux encore mouillés de larmes du public.
Usage important de drogues, comportements agressifs et même harcelants, explosions de colère, Liam vivait des moments difficiles et peu reluisants avant de s'éteindre, à 31 ans.
On apprend maintenant que l'homme avait été lâché par sa psychiatre moins d'un mois avant sa mort puisque Liam avait besoin « d'un plus grand niveau de soins », peut-on lire dans une lettre écrite par la psychiatre en question à la cour argentine en vue du procès.
Toujours en lien avec la lettre, on apprend que la professionnelle a a décidé d’arrêter de traiter Liam « après mûre réflexion et évaluation ». Elle a tout de même conseillé de continuer avec un plan de traitement : prendre les médicaments uniquement comme prescrits, éviter de boire excessivement pendant le traitement, suivre une thérapie hebdomadaire, consulter un médecin généraliste et effectuer des examens complémentaires.
À l'été 2023, Liam avait parlé ouvertement de sa lutte contre l'addiction après avoir passé 100 jours en cure de désintoxication. Il a annoncé dans une mise à jour vidéo sur YouTube à l'époque qu'il était sobre depuis 6 mois.
Cette sobriété n'aura pas duré. Au moment de son décès, Liam avait de l'alcool, de la cocaïne et des antidépresseurs dans son système.
