Un nouveau défi «exigeant» pour Julie Perreault
François Hamel
Le 1er mars dernier, la deuxième saison de la websérie Je voudrais qu’on m’efface, mettant en vedette Julie Perreault, était présentée dans le cadre des Rendez-vous Québec Cinéma.
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Entre son rôle de Mégane Cormier dans cette série et celui d’Alice Martin-Sommer dans Doute raisonnable, en plus de sa carrière florissante de photographe, la comédienne n’avait pas encore eu le temps de réaliser qu’elle s’apprêtait à franchir le cap des 25 ans de carrière, puisqu’elle a terminé sa formation au Conservatoire d’art dramatique de Montréal en 1998. «C’est intéressant d’y réfléchir, de dresser un certain bilan. Chose certaine, je ne me suis pas ennuyée. J’ai beaucoup appris, je continue d’apprendre et je me considère comme privilégiée, en ce sens où j’ai eu plusieurs opportunités qui m’ont mise en valeur.»
Au cours des derniers mois, Julie Perreault a même ajouté une corde à son arc en réalisant quatre épisodes de la quotidienne STAT, qui seront bientôt diffusés. «C’est la toute première fois que je touche à la réalisation. Il y a juste Fabienne Larouche qui m’offfe des défis de la sorte. Un défi exigeant que j’ai pris très au sérieux.»
Au visionnement des nouveaux épisodes de Je voudrais qu’on m’efface, qui sont tous disponibles sur Tou.tv, elle était accompagnée de son amoureux depuis trois ans, George Kontogiannis. «Je tiens aussi à consacrer du temps à cet autre aspect très important de ma vie. George est avant tout lieutenant, il est pompier.»
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