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Culture

Dans une entrevue touchante, Virginie Ranger-Beauregard révèle que ce n'était pas sa décision de quitter «STAT»

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        Photo portrait de Sarah-Émilie Nault

        Sarah-Émilie Nault

        7 janvier à 14h30
        7 janvier à 14h32
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        Virginie Ranger-Beauregard vit le deuil de la mort de son personnage de Delphine, la douce travailleuse sociale nouvellement enceinte de la série STAT, depuis presque deux mois déjà. «Que ça se poursuive sans moi, c’est triste», confie la comédienne.

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        «Une partie de mon deuil de ne plus jouer dans STAT est entamé», explique l’interprète de Delphine Martin qui savait depuis le début du mois de novembre dernier que son personnage n’allait pas s’en sortir.

        Son deuil est celui «de ne plus être de ce projet qui est assez puissant auquel j’étais fière de participer. Des collègues et de l’équipe technique aussi qui devient famille. Je respecte l’autrice et je la trouve bonne. Je ne suis pas du tout amère. La petite tristesse est plus personnelle, mais ça fait partie du métier. C’est déchirant, mais bon, c’est OK», poursuit-elle.

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        photo fournie par Éric Myre
        photo fournie par Éric Myre

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        Lourd secret

        Depuis novembre donc que Virginie Ranger-Beauregard portait en elle le lourd secret de la disparition de Delphine, un personnage particulièrement aimé par les téléspectateurs pour sa douceur et sa grande empathie.

        «J’étais consciente que c’était un personnage apprécié. Je l’ai dit aux gens très proches de moi, car j’avais besoin de parler de ce que je vivais. Ce sont eux qui m’ont fait comprendre à quel point le public allait capoter», explique-t-elle.

        L’actrice avoue qu’elle avait hâte que l’épisode de lundi soit diffusé, car tout son temps des Fêtes, ses réunions de famille et les gens rencontrés dans la rue voulaient savoir si Delphine allait survivre.

        «J’ai regardé l’épisode seule hier soir et j’ai été très émue par la performance de mes amis, les autres comédiens. J’ai eu les yeux pleins d’eau de voir leur émotion», dit celle qui a tourné les scènes où on la voit morte à la mi-novembre.

        De cette prenante aventure que fut celle de STAT, Virginie Ranger-Beauregard retient plusieurs choses, dont le bonheur et le vertige de l’aspect «phénomène» de cette émission qui est l’une des plus suivies au Québec.

        «Je ne me suis jamais autant fait parler d’un projet ni d’un personnage. Cela m’a impressionné. Sur le plan personnel, je garde les contacts et les amis», explique la comédienne qu’on a également pu voir dans la série humoristique Entre deux draps.

        photo fournie par Éric Myre
        photo fournie par Éric Myre

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        Inspirante Suzanne Clément

        Quant au travail avec l’actrice Suzanne Clément, elle le qualifie d’inspirant.

        «C’est une grande actrice qui propage son talent. Tout le monde est meilleur à ses côtés, juste à son contact. Elle n’a jamais une position de supériorité. C’est vraiment une rassembleuse qui a beaucoup d’humilité. C’est une grande actrice et une grande dame», lance-t-elle.

        Continuera-t-elle à suivre STAT maintenant que Delphine n’y est plus?

        «Je pense que oui. Je crois que je vais avoir la curiosité de voir où ça s’en va et de regarder mes amis, de voir où ils s’en vont. Car tous les personnages ont leur porte de sortie, leur petite faille qui fait que ça peut virer de l’autre bord. Tout est possible dans STAT. Je vais les admirer de loin», conclut l’actrice qu’on retrouvera dans un épisode de la comédie Gâtées pourries de ses amies Anne-Élisabeth Bossé, Pascale Renaud-Hébert et Suzie Bouchard plus tard en 2025.

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