Un cas extrême sème l’émoi à l’hôpital lors de la dernière semaine avant la pause des Fêtes dans STAT
DU LUNDI AU JEUDI 19 H, RADIO-CANADA
Annie Hogue
Un cas complexe sème l’émoi à l’hôpital Saint-Vincent et pousse le personnel à prendre des précautions particulières. Plusieurs autres patients ont aussi besoin d’attention... Après un voyage humanitaire, Gabriel Lemaire revient à Montréal et reprend son poste d’intensiviste. Rosalie entre en poste à la cafétéria de l’hôpital.
Dans les derniers épisodes de l’automne, les patients continuent d’affluer à l’urgence de l’hôpital Saint-Vincent. Emmanuelle St-Cyr et son équipe ne manquent pas de boulot, d’autant plus qu’un cas très particulier attire l’attention: celui d’une jeune femme qui présente une condition médicale rare et complexe. Cette patiente n’en est pas à sa première visite à Saint-Vincent, et le personnel la connaît bien.
«Une telle condition est habituellement mortelle. Il est possible d’agir avec un vaccin, mais cette patiente y est allergique. Emmanuelle prend ce cas très à cœur. Elle veut faire les bras et n’envisagent plus que quelque chose, sans savoir quoi», raconte l’autrice, Marie-Andrée Labbé.
Un mince espoir
La jeune femme, qui était rentrée chez elle après son premier séjour, se présente de nouveau à l’urgence pour recevoir des soins.
Sa maladie étant hautement contagieuse, le personnel doit absolument prendre des dispositions particulières afin d’éviter toute propagation. Dans une situation aussi inhabituelle, pensera-t-il à tout?
Emmanuelle et ses collègues discutent du cas et envisagent toutes sortes de solutions, mais aucune ne semble assez prometteuse pour donner de l’espoir à la patiente. L’urgentologue ne peut toutefois se résigner à concevoir que ce soit la fin. Elle a tout tenté pour sauver la jeune femme, même si ses efforts ne semblent pas donner de résultats. Si plusieurs de ses collègues ont baissé les bras et n’envisagent plus que des soins palliatifs, Emmanuelle croit qu’elle doit en faire plus.
En menant des recherches, elle trouve un traitement utilisé aux États-Unis qui semble donner de bons résultats. Si c’est dans ce protocole que réside l’espoir chez elle de sauver sa patiente, peut-il être appliqué à Saint-Vincent si l’urgentologue convainc la direction de tenter le coup?
Les autres intrigues
Gabriel Lemaire, un intensiviste qui a pris un long congé afin de prendre part à un voyage humanitaire, est de retour. Cet homme est un bon ami de Pascal, qui est très heureux de le retrouver, mais sa personnalité ne plaît pas à tout le monde. Jacob, en particulier, le trouve antipathique dès leur première rencontre.
Grâce à ses contacts, Rosalie obtient un poste à la cafétéria de l’hôpital. Philippe est disposé à donner une chance à sa fille et il l’accueille à son premier jour de travail. Rosalie sera-t-elle à la hauteur des attentes? Avec elle, il est souvent difficile de ne pas envisager le pire. Pourra-t-elle éviter de créer un scandale ou une commotion?
De son côté, Philippe doit s’absenter pour quelques jours afin de témoigner à un procès. Sophia vit des difficultés et se confie à Jacob. Pour Éric, la fin de saison est remplie de hauts et de bas: les bonnes et les mauvaises nouvelles se succèdent.
À l’urgence, le personnel prend en charge une enseignante et son élève qui se sont blessés à l’école. Le sergent-détective Fortin vient les interroger pour essayer de comprendre ce qui s’est passé, mais la dame demeure sur ses gardes. Delphine pourra-t-elle l’amener à se confier? Par ailleurs, le cas de Pierre-Louis, un ancien patient, touche particulièrement Pascal.