«Ultraviolet»: le nouvel album de Damien Robitaille va vous faire danser

Raphaël Gendron-Martin
À l'approche de la sortie de son nouvel album, Ultraviolet, nous avons reçu le talentueux Damien Robitaille.
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Damien Robitaille rayonne de bonheur. Après des années à voir sa carrière stagner en peinant à vendre des billets pour ses spectacles, l’auteur-compositeur de 43 ans brille maintenant de mille feux. Le brillant musicien embrasse maintenant pleinement le style dance pop sur son nouvel album, Ultraviolet, qui sort le 14 février. On pourrait penser que la date de sortie de l’album, le 14 février, était calculée longtemps à l’avance par la maison de disque de l’artiste, Audiogram. Après tout, Damien a déjà joué la carte du séducteur dans le passé avec ses projets. Mais le chanteur nous assure qu’il n’y a pas de stratégie derrière tout ça. «Au début, on voulait sortir l’album à la fin janvier, mais Pierre [Lapointe] sortait déjà le sien. On a cherché une date qui marchait bien.»
Damien Robitaille présente quelques titres de son nouvel album Ultraviolet
– (She’s Got That) Je ne sais quoi
«Pendant la pandémie, les reprises que je faisais qui avaient le plus de succès, c’était les tounes dance des années 1990, comme Pump Up the Jam, Rhythm of the Night et I Like to Move It. C’est ça que j’écoute avec mes enfants dans l’auto [...]. Ça faisait plusieurs années que je voulais faire une chanson qui montre que même en anglais, on utilise des expressions en français. J’ai sorti plein de mots comme “femme fatale”, “magnifique” et “bon voyage”.»
– Kaléidoscope
«C’est la première chanson que j’ai terminée pour l’album, mais ç’a pris tout un chemin pour s’y rendre! Au début, la mélodie au piano, ça sonnait comme Jump, de Van Halen! Je n’étais pas sûr. Les paroles au début étaient quétaines, c’était horrible [rires]! Je l’avais même appelée Saute-mouton.»
– Limousine
«J’aime dire que j’ai rencontré Vanessa [sa conjointe] dans une limousine. C’est une joke qui grandit et qui devient une histoire. [...] On avait fait un road trip en Espagne et elle était parfois assise en arrière. Je me sentais comme un chauffeur! C’est la même chose quand je conduis les enfants. [...] J’ai eu l’idée de cette chanson lors d’un voyage à Québec... en train!»
– Point de non-retour
«C’est une chanson inspirée du style dance 90 [années 1990], comme What Is Love. J’imaginais une chanson pour courir et ce que ça m’évoquait. Je rends ça plus poétique que juste du jogging [rires]! C’est une chanson de voyage, comme quand je retourne chez nous en Ontario. Il y a un point de non-retour.»
– Ultraviolet
«C’était une toune plus reggae au début! Je voyais ça comme une chanson pop un peu ska. Tant qu’à écrire, j’avais décidé d’aller au Mexique. À l’époque, il y avait l’éclipse et je parlais qu’il fallait se protéger avec de la crème solaire. [...] Il y a plusieurs chansons qui parlent de lumière sur l’album, comme Ultraviolet, Aurores boréales et Kaléidoscope.»
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