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L'article provient de Pèse sur start

Six jeux qui ne font pas l’unanimité, mais qu’on a vraiment aimés

Montage Christine Lemus
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PÈSE SUR START

2021-07-30T20:30:12Z
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On ne le dira jamais assez: l’art, les jeux vidéo inclus, c’est subjectif! Certes, quelques titres font l’unanimité, mais, plus souvent qu’autre chose, la communauté gaming est divisée. Et, parfois, pas à peu près!

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Ainsi, on a tous déjà adoré un titre que notre meilleur ami a détesté ou même que bon nombre de critiques ont descendu à boulets rouges. Dans ce temps-là, on se pose des questions, on se sent un peu bizarre. C’est normal, ça arrive à tout le monde.

Cependant, comme on l’a écrit en début de texte, les jeux, c’est une question de préférences personnelles. On y va donc d’un petit conseil: ignorez ce que disent les autres... et jouez donc à ce que vous voulez! Même si c’est Superman sur la Nintendo 64.

Tout ça pour dire que, pour vous donner bonne conscience, on a décidé de vous parler de six jeux qui ont divisé la communauté... mais que l’équipe de Pèse sur start a vraiment aimés.

Jugez-nous pas! (Surtout que c’est pas mal le message même de l’article.)

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Christine    

Cyberpunk 2077   

2020 et 2021 n’ont pas été des années très joyeuses pour CD Projekt Red. Avec les multiples reports et les promesses qui n’ont pas été tenues, Cyberpunk 2077 est passé rapidement du jeu le plus attendu à celui qui a reçu le plus de grogne de la part de la communauté gaming.

Malgré tout, entre sa sortie, le 10 décembre, et le 30 décembre, j’ai passé un peu plus de 105 heures dans le jeu, et ça veut tout dire pour moi. Malgré les nombreux bogues que j’ai rencontrés, la frustration engendrée par ceux-ci, les déceptions des promesses abandonnées, j’ai dévoré Cyberpunk 2077. Son histoire accrocheuse, ses graphismes impressionnants et l’atmosphère en général ont amplement satisfait mon besoin d’un nouveau coup de cœur.

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Destiny 2  

Il y a un je-ne-sais-quoi très spécial dans la communauté de Destiny 2 qui en fait un de mes jeux préférés.

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Quand plusieurs joueurs explorent les planètes et se réunissent pendant un «public event», il y a une sorte de sentiment de camaraderie qui se forme le temps de l'événement. Ça n’a rien à voir avec, par exemple, les donjons de World of Warcraft. C’est rare qu’on se fasse insulter, encore plus rare qu’on se fasse saboter. 

Si on se bâtit un bon cercle d’amis en ligne ou qu’on rejoint un clan actif, Destiny 2 devient alors un jeu super agréable! Même si très répétitif, il y a de quoi de satisfaisant à terminer des missions un peu partout dans le système solaire. Ce n’est pas nouveau: un jeu multijoueur est toujours meilleur lorsque savouré en bonne compagnie!

Kazzie    

The Sims 4  

La franchise Sims n’est certainement pas mal-aimée, mais elle divise, surtout dans sa propre communauté. Il y a beaucoup de raisons, mais celle qui revient tout le temps est son prix exorbitant si l’on compte acheter les DLC. Et sans les DLC, The Sims 4 est un peu ennuyeux. Surtout qu’à sa sortie, il manquait plusieurs fonctions de base que les titres précédents possédaient, mais le jeu était évidemment à plein prix. Je haïs Sims 4. J’adore Sims 4. Je haïs adorer Sims 4, malgré sa montagne de défauts.

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Justement, un tout nouveau DLC intitulé Cottage Living est sorti en juillet pour 51,99 $. Le jeu de base, lui, est à 39,99 $. Ça me pompe et ça me fâche. Surtout que je risque de l'acheter, parce que #chalets.

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Les jeux mobiles boboches  

J'ai quand même un pas pire malaise à avouer ceci: je suis une grande joueuse de jeux mobiles un peu boboches. Je viens tout juste de retomber dans Toon Blast, un genre de match 3 avec des animaux cartoon. C'est tellement mauvais, mais ça se joue bien le dimanche soir devant la télé avant d'aller me coucher.

Parlant de jeux mobiles, je suis encore très active dans Pokémon Go. Ça fait rire bien des gens, mais j'y ai retrouvé du plaisir durant la pandémie pour me motiver à aller marcher et faire de l'exercice. Tous les matins, j'ouvre le jeu pour une dizaine de minutes et je regarde mes objectifs. Je suis à la recherche de Sudowoodo, si vous en croisez.

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Raphaël    

The Last of Us Part II   

Ne vous inquiétez pas, je ne distribuerai pas de juteux spoilers ici. Je vais plutôt me contenter de dire ceci: par ses choix scénaristiques, et même sa structure en général, The Last of Us Part II a fendu en deux clans la planète gaming. Rien de moins. Et personnellement, je comprends très bien.

Le premier Last of Us est un jeu immensément populaire, peuplé par des personnages à qui l’entièreté de l’Internet s’est attachée profondément. Sauf que, pour la suite, Naughty Dog a décidé de jouer les trouble-fêtes en offrant aux fans une histoire de vengeance sanglante, extrêmement difficile à digérer, et en les obligeant à progresser, souvent à contrecœur, dans une trame narrative que personne ne souhaitait voir se dérouler.

Je vais être très franc, j’ai trouvé la trentaine d’heures de Last of Us Part II éprouvante mentalement et j’ai parfois eu même du mal à poursuivre l’aventure. Cela dit, avec du recul, je suis obligé de dire que ça s’est finalement révélé l’un de mes jeux préférés de tous les temps. Le jeu est magnifique, le gameplay est nerveux et, surtout, l’expérience est unique, tout particulièrement pour un jeu vidéo.

The Last of Us Part II reste avec vous pour longtemps, vous fait réfléchir et prouve que les jeux n’ont pas toujours besoin d’être «amusants» pour être des chefs-d’œuvre.

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Detroit: Become Human  

Malgré tous ses défauts, il y a une place particulière dans mon cœur mon Heavy Rain. Et, évidemment, on peut dire la même chose pour Detroit: Become Human, la plus récente aventure aussi épique que, par moments, ridicule de Quantic Dream.

Oui, l’écriture n’est définitivement pas le point fort du titre et son histoire mélange les clichés, les malaises et les généralités, le tout dans une belle enveloppe science-fiction pas toujours très crédible. Mais, pour ma part, le système de choix et les nombreux embranchements scénaristiques que propose Detroit: Become Human viennent sauver la mise. Et puis, on va se le dire, une petite intrigue à la limite du roman-savon, c’est toujours divertissant.

En fait, contrairement à The Last of Us Part II, par exemple, c’est pas mal ce que j’ai retenu de Detroit: Become Human: c’est avant tout un divertissement, qui m’a tenu en haleine et m’a accroché à mon téléviseur. Mais parfois, c’est tout ce que ça prend pour aimer un jeu.

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