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Culture

Marc Hervieux revient sur son expérience à «MasterChef Québec»

Suivez la compétition culinaire du lundi au jeudi à 19 h 30, à TVA. Les émissions sont offertes sur TVA+ en rattrapage.

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Marjolaine Simard

2024-02-16T12:00:00Z
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Après l’élimination crève-coeur de Kimberly, la compétition se corse, puisqu’il ne reste que 11 candidats. Cette semaine, les participants font face à un grand défi mettant le vin en vedette, en compagnie du juge invité Marc Hervieux.

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La semaine s’amorçait avec une boîte mystère bien garnie de ce qu’on retrouve dans le frigo et les armoires des Québécois, car comme l’expliquaient les animateurs, un bon cuisinier doit savoir se débrouiller avec les ingrédients qu’il a sous la main. Chaque participant devait ensuite choisir une boîte de conserve mystère. Si certains étaient heureux de tomber sur une boîte de tomates ou d’olives, d’autres l’étaient moins, comme Sandra et sa boîte de haricots verts, de même que Pierre-Yves et ses pois chiches. On a eu droit à un moment émouvant avec Vincent, qui se rappelait avoir connu une époque plus difficile financièrement et où il a appris à cuisiner alors que son frigo était presque vide. C’est Meriem qui a remporté ce défi en servant une mousseline de poulet, olives et noix. Bénéficiant de l’immunité, elle a pu choisir deux personnes pour profiter de cet avantage. Fadwa et Vincent se sont ainsi détendus en sa compagnie avec un bon verre de vin pendant le grand défi de la semaine. 

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Un ténor gourmand 

Pour le grand défi, MasterChef Québec recevait comme juge invité le chanteur Marc Hervieux. S’il aime pousser la note et animer des émissions, il se qualifie également d’épicurien et de passionné de cuisine. «J’ai écrit deux livres de cuisine, qui ont connu beaucoup de succès. J’ai aussi ouvert le Café des Bons Vivants à Sainte-Adèle, il y a deux ans. Les gens peuvent être surpris de me voir comme juge invité, mais l’univers de la restauration en est un dans lequel je gravite quotidiennement!» 

Il faut savoir que la passion du ténor pour la nourriture ne date pas d’hier. «À 17 ans, j’étais animateur sur une base de plein air et je me suis retrouvé à travailler à la cafétéria, parce que la cuisinière a eu un malaise cardiaque. Du jour au lendemain, je faisais des repas pour personnes, trois fois par jour. Même si c’était de la cuisine familiale, j’avais à coeur que ça soit bon! J’ai appris à goûter et à être très critique envers moi-même. J’ai également animé Cap sur l’été avec Marie-Josée Taillefer. Juste la première année, on a reçu 54 chefs sur le plateau. Ce fut un merveilleux entraînement pour mon palais!» 

Un défi en rouge et blanc 

Pour le grand défi, les huit candidats en compétition devaient s’inspirer des vins de Stefano, soit du vin blanc Catarratto (aux arômes de pêche blanche, pomme jaune, abricot et fleur d’oranger) ou du vin rouge Nerello Mascalese (aux arômes de fruits rouges, cerise et rose). Les participants étaient divisés en deux groupes, chacun cuisinant avec une couleur de vin. Le défi était également d’inclure un des arômes du vin auquel on les avait associés. Les participants ne disposaient que de cinq minutes pour faire leurs courses. «C’était très court! Certains n’ont pas eu le temps d’attraper tout ce qu’ils désiraient et ont dû compenser avec d’autres choses! Honnêtement, moi qui aime cuisiner, la dernière chose dans laquelle je voudrais me retrouver, c’est dans une compétition où le temps compte!» lance Marc Hervieux. 

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Il ajoute que le défi de cette sixième semaine n’était pas facile. «En s’inspirant des couleurs rouge ou blanc, les candidats pouvaient facilement tomber dans un piège. Par exemple, il ne fallait pas penser qu’à la viande rouge et oublier qu’il existe beaucoup d’autres aliments de cette couleur. Je les ai trouvés extrêmement inventifs, et la plupart ont très bien répondu aux critères. Je me demande vraiment comment je me serais débrouillé à leur place!» 

Le bec sucré 

«Je me suis promené de station en station. Ce qui m’a surpris, c’est que plusieurs proposaient un dessert. Ça tombait bien, car j’ai vraiment le bec sucré! J’ai été élevé dans une famille où un repas n’était pas un repas sans dessert. Mon père travaillait à la raffinerie St. Lawrence Sugar. J’ai donc baigné dans le sucre toute ma jeunesse! J’ai été bien impressionné par le dessert de Sandra, qui a gagné avec son dessert Blancheur à l’abricot et fleur d’oranger. La présentation était impeccable et le goût, une merveille! On m’a donné ce qui restait de son dessert!»

Duo de tartines

Après un défi entre les sept participants qui devaient cuisiner un croque-monsieur en 20 minutes, c’est Yvon, Yves et Simon qui se sont retrouvés devant la dernière élimination, alors qu’ils devaient créer une tartine sucrée et une tartine salée.

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