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Culture

Les réactions des 10 vedettes qui ont affronté la jungle dans Sortez-moi d’ici!

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Patrick Delisle-Crevier

2023-02-18T13:00:00Z
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Ce dimanche, Sortez-moi d’ici!, l’adaptation québécoise de la série britannique I’m a Celebrity... Get Me Out of Here!, entrera dans la grande messe télévisuelle dominicale. L’émission animée par Alexandre Barrette et Jean-Philippe Dion sera diffusée à TVA. Au total, 10 personnalités s’embarquent dans une folle aventure, celle de relever des défis en pleine jungle du Costa Rica et de dormir à la belle étoile parmi les bêtes sauvages. Tout ça dans le noble but de gagner 100 000 $ à remettre à l’organisme ou à la fondation de leur choix. Pourquoi s’embarquer dans un tel projet? Nous avons posé la question aux 10 candidats.

Joël Lemay / Agence QMI
Joël Lemay / Agence QMI


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Andréanne A. Malette     

Photo : Dominic Gouin / TVA Pub
Photo : Dominic Gouin / TVA Pub

«Pour moi, l’idée première était de sortir un peu de la grande ville et de voir autre chose au terme de cette période pandémique. J’avais un besoin profond de changer d’air et d’y aller all in: d’aller combattre le choc par le choc. Et ce fut très formateur. J’ai appris au bout de tout ça que j’étais capable d’être concentrée, de me dépasser et de me prioriser aussi. Habituellement, dans un contexte de gang, je suis celle qui s’assure tout le temps que tout le monde est correct. Mais là, j’étais plus dans un mode compétitif, parce que je voulais vraiment remettre cette somme à mon organisation», affirme Andréanne A. Malette, qui a choisi le Regroupement des centres d’hébergement pour les femmes victimes de violence conjugale.

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Rahmane Belkebiche  

Photo : Dominic Gouin / TVA Pub
Photo : Dominic Gouin / TVA Pub

«Je voulais me dépasser intérieurement et m’ouvrir. J’aimais l’idée d’être vulnérable et entouré de gens que je ne connaissais pas. Je voulais apprendre à devenir la meilleure version de moi-même et m’enlever toutes les barrières. Me dépasser pour une cause, je trouvais ça vraiment noble. J’ai appris que le souci de performance, ce n’est pas toujours bien; parfois, se laisser aller et perdre, ça fait aussi partie du processus. Il ne faut pas constamment exiger le meilleur de soi dans tout et chaque jour», mentionne le danseur, qui a participé à l’émission pour Espace 100Lux, un organisme venant en aide aux artistes.

Nathalie Simard 

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«Après avoir été contactée pour participer à l’émission, j’ai eu une grande réflexion. J’ai beaucoup hésité, mais finalement j’ai signé une semaine avant de partir. J’ai dit oui, parce que j’avais vraiment confiance en la production, et c’était un beau défi. J’ai eu envie de faire un pas de plus et cela m’a permis d’apprendre beaucoup de choses. Entre autres, que j’avais beaucoup de courage. Il y a eu un défi où j’ai eu vraiment très peur et j’ai appris que j’étais encore capable de me dépasser», a dit Nathalie Simard, qui a choisi les CALACS, des centres d’aide aux victimes d’agressions sexuelles.

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Marianne St-Gelais

Photo : Dominic Gouin / TVA Pub
Photo : Dominic Gouin / TVA Pub

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«Je ne voulais pas écouter l’émission dans mon salon et me dire que j’aurais donc dû y aller, alors j’y suis allée. Pour moi, ç’a été un gros appel de l’aventure. Mon but précis était de tourner la page sur l’athlète olympique et de me concentrer sur l’humaine que je suis. J’ai pu apprendre que je suis une fille qui s’adapte facilement et qui n’a pas besoin de tant de confort que ça dans la vie», a dit Marianne St-Gelais, qui a opté pour la fondation Maison des champions, qui vient en aide entre autres aux athlètes après leur carrière.

Deano Clavet     

Photo : Dominic Gouin / TVA Pub
Photo : Dominic Gouin / TVA Pub

«J’aime l’aventure et j’en ai vécu pas mal au cours de ma vie et de ma carrière. J’aime les défis et j’ai un côté un peu naïf: je prends souvent les choses au premier degré. Donc, quand on m’a dit que je partais dans la jungle, je pensais que j’aurais à chasser des animaux à l’arc pour me nourrir. Disons que ce n’était pas ce à quoi je m’attendais! Je comprends la signification du titre Sortez-moi d’ici!, parce que j’ai vraiment voulu sortir de là à un certain moment. Je suis fier de moi-même», commente le boxeur, qui a parcouru la jungle pour la DPJ de Montréal.

Livia Martin     

Photo : Dominic Gouin / TVA Pub
Photo : Dominic Gouin / TVA Pub

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«J’ai accepté, parce que je voulais me dépasser et que je suis une personne de cœur qui voulait remettre de l’argent à une fondation. J’ai aussi voulu affronter mes peurs. Sérieusement, ça m’a tellement bousculée que je pense que j’ai laissé une petite partie de moi dans la jungle. Je suis revenue avec un nouveau bagage et j’ai l’impression, à 21 ans, de ne plus avoir peur de grand-chose. J’ai de belles histoires à raconter et je me sens beaucoup plus sereine après avoir vécu tout ça», a dit Livia Martin, qui a choisi la Fondation Jeunes en tête, qui prévient la détresse psychologique chez les jeunes.

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Colette Provencher     


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«J’ai eu envie de m’embarquer dans cette aventure d’abord pour aider des causes qui me tiennent à cœur, mais je voulais aussi me sortir de ma zone de confort. Je suis quelqu’un qui a peu confiance en moi dans la vie et j’ai eu à travailler fort là-dessus en voyant les autres candidats aller. Ça m’a brassée et ça a fait du bien. Par ailleurs, je me rends compte que je suis encore en pas pire forme», a dit Colette Provencher, qui a voulu encourager la Maison Source Bleue, une maison de soins palliatifs à Boucherville, en plus de la fondation Mira.

Jean-Michel Leblond     

Photo : Dominic Gouin / TVA Pub
Photo : Dominic Gouin / TVA Pub

«Je veux vraiment donner 100 000 $ à la Fondation Martin-Matte, qui vient en aide aux traumatisés crâniens. Un de mes grands amis a un traumatisme depuis un accident de voiture et il est incapable de travailler aujourd’hui. J’ai eu envie de relever le défi de Sortez-moi d’ici! pour lui. Dans le monde où on vit, c’est assez rare de pouvoir vivre une telle expérience qui nous permet de repousser nos limites sans pouvoir contrôler les défis. Je trouvais ça intéressant. Mes plus grandes phobies sont les serpents et les lieux clos. J’ai aussi une peur contrôlée des hauteurs. Après les défis que j’ai faits pour cette émission, je me sens complètement transformé. Je suis un nouvel homme: j’ai été capable de contrôler et de vaincre mes peurs», affirme le chef cuisinier, gagnant de l’émission Chefs de bois, Jean-Michel Leblond.

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François Marquis     

Photo : Dominic Gouin / TVA Pub
Photo : Dominic Gouin / TVA Pub

«J’ai d’abord voulu faire ça pour amasser des fonds pour la Fondation de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont. Ça, c’est ma réponse intellectuelle. Maintenant, se faire offrir une telle opportunité, c’est un cadeau extraordinaire pour un homme de 47 ans. J’ai passé ma vie dans le bois à faire des camps d’été, à vivre des aventures et à essayer de me dépasser. Je devais embarquer dans ce train, parce que ce genre de truc ne passe pas deux fois dans une vie. J’y ai fait des rencontres improbables et j’ai adoré ça! J’ai aussi appris certaines choses sur moi. Entre autres, qu’il y a une différence entre penser qu’on a réglé un problème et l’avoir vraiment réglé. C’est extrêmement satisfaisant quand tu vois la différence», a dit le Dr François Marquis.

Jean-François Mercier     

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«Je voulais relever un défi. J’y allais d’abord dans un but extrêmement personnel, parce que je voulais me confronter à certaines affaires, dont des peurs que je traîne depuis trop longtemps. Je n’ai pas dit oui tout de suite, j’ai vraiment beaucoup réfléchi. Je savais que le défi allait être grand et, habituellement dans la vie, quand je sais que je vais vraiment avoir l’air cave, je m’assure de ne pas être filmé! Là, c’était tout le contraire. Ça venait avec un risque, mais je suis ressorti extrêmement fier de tout ça. Ça a changé beaucoup de choses en moi. Ça m’a appris que, quand c’est le temps, je réagis de la bonne façon. Ça m’a aussi appris que j’avais des capacités plus grandes que ce que je pensais, et ma voix intérieure a changé après cette émission-là», avoue Jean-François Mercier, qui endosse la cause des Gouverneurs de l’espoir, un organisme qui vient en aide aux enfants malades et à leur famille.      

Sortez-moi d’ici!, dimanche 18 h 30, à TVA.

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