Les 10 pires choses que Trump a faites pendant sa présidence
Frédéric Guindon
Courage amis Américains! Il ne vous reste que 2 mois à endurer le Grand Orange, et non, on ne parle pas de Rusty Staub...
Depuis son investiture le 20 janvier 2017, le 45e président des États-Unis, Donald Trump, a multiplié les décisions controversées.
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Nous revenons aujourd’hui sur ce qui constitue, selon nous, les 10 pires gestes posés au cours de ses quatre années au pouvoir.
10- Il a essayé de bannir TikTok
President Trump on TikTok @tiktok_us: "It'll close down on September 15th unless Microsoft or somebody else is able to buy it." pic.twitter.com/GVn1yZeJ2W
— CSPAN (@cspan) August 3, 2020
Après que des ados aient commencé à se moquer de lui sur la populaire plateforme originaire de Chine, Trump a décidé qu’elle était une menace pour la sécurité nationale.
Il a donc forcé sa vente à un propriétaire américain, Oracle.
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9- Il a menti sur la foule présente à son investiture
In a speech to the CIA today, President Trump said the inaugural crowd "looked like a million and a half people."
— Vox (@voxdotcom) January 21, 2017
Images suggest otherwise: pic.twitter.com/qIAYRneBsH
Le président avait affirmé que la foule réunie pour son assermentation était «la plus grosse de tous les temps», ce qui était bien sûr faux.
De nombreux montages photo ont circulé, démontrant le contraire.
8- Il a voulu acheter le Groendland
I promise not to do this to Greenland! pic.twitter.com/03DdyVU6HA
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) August 20, 2019
En fait, il voulait faire un échange: le Groendland contre Puerto Rico, qu’il considère «sale et pauvre». Quel chic type...
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7- Il n’a jamais voulu dévoiler ses rapports d’impôts
The Fake News Media, just like Election time 2016, is bringing up my Taxes & all sorts of other nonsense with illegally obtained information & only bad intent. I paid many millions of dollars in taxes but was entitled, like everyone else, to depreciation & tax credits.....
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) September 28, 2020
Au fil du temps, malgré les demandes répétées, et contrairement à tous ses prédécesseurs, il n’a jamais voulu dire combien il payait d’impôts.
Le New York Times a finalement révélé qu’il avait payé 750$ en impôt fédéral en 2016, lui qui supposément multi-millionnaire. Étrange...
6- Il a appelé Elizabeth Warren «Pocahontas» à de nombreuses reprises
Pocahontas, working in conjunction with the Democrat Party, totally destroyed the campaign of Bernie Sanders. If she would have quit 3 days earlier, Sanders would have beaten Biden in a route, it wouldn’t even have been close. They also got two other losers to support Sleepy Joe!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) March 11, 2020
La sénatrice du Massachusetts, qui avait été candidate à l’investiture démocrate, a un jour révélé qu’elle avait des origines autochtones. Cela n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, et Trump s’en est abondamment servi pour la dénigrer, elle,...ainsi que tous les autres autochtones américains au passage.
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5- Il a appelé Haïti, le Salvador et de nombreux pays africains des «pays de trou à merde»
President Trump called El Salvador, Haiti "shithole countries": report https://t.co/aFbSGS4iuJ
— TIME (@TIME) January 12, 2018
Dans une rencontre avec des officiels de la Maison-Blanche sur un nouveau pacte potentiel en immigration, il aurait déclaré: «Pourquoi avons-nous tous ces gens de pays de trou à merde qui viennent ici? Pourquoi avons-nous besoin de plus d’Haïtiens?»
4- Il a mis fin à un programme d’aide pour les réfugiés haïtiens
After a magnitude 7.0 earthquake devastated Haiti in 2010, leaving hundreds of thousands of people dead, Obama designated Haiti as a country whose nationals could receive Temporary Protected Status, meaning they could live in the U.S. temporarily. https://t.co/tvDtpujVo8
— Los Angeles Times (@latimes) January 8, 2020
59 000 réfugiés haïtiens avaient été accueillis aux États-Unis au début des années 2010, à la suite du séisme dévastateur dans leur pays.
À partir de novembre 2017, ils ont commencé à être renvoyés dans la Perle des Antilles. Et cela se poursuivait toujours en 2020, pendant la pandémie de COVID-19.
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3- Il a retiré les États-Unis de l’Accord de Paris sur le climat
The Paris Agreement isn’t working out so well for Paris. Protests and riots all over France. People do not want to pay large sums of money, much to third world countries (that are questionably run), in order to maybe protect the environment. Chanting “We Want Trump!” Love France.
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) December 8, 2018
Dubitatif des changements climatiques qui s'opèrent sur notre belle Terre, Trump a sorti les USA d’une entente globale pour améliorer les conditions de vie des générations futures.
Pas étonnant quand sa conseillère principale en matière d’environnement, Kathleen Hartnett White, est une climato-sceptique reconnue.
2- Il a appelé des manifestants d’extrême-droite «des gens très bien»
Three years ago today, white supremacists descended on Charlottesville with torches in hand and hate in their hearts. Our president said they were "very fine people."
— Joe Biden (@JoeBiden) August 12, 2020
It was clear then, and it's clear now: We are in a battle for the soul of our nation, and we must win.
Après que la manifestante anti-raciste Heather Heyer eut été tuée lorsqu’une voiture a foncé dans la foule à Charlottesville, Trump a commenté l’incident en évoquant qu’il y avait «des gens très bien» des deux côtés de la manifestation. Or, d’un côté, il y avait des suprémacistes blancs et des néo-nazis.
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1- Il a séparé des enfants migrants de leurs parents
BREAKING: Lawyers say they can't find the parents of 545 migrant children separated by the Trump administration. With @JuliaEAinsley. https://t.co/riUuEshXnc
— Jacob Soboroff (@jacobsoboroff) October 20, 2020
Tout le monde sait que Trump a une aversion pour les immigrants illégaux mexicains. Mais de là à séparer les parents de leurs enfants et à mettre ces derniers dans des cages, il y a une énorme marche qu’il a pourtant franchie.
En octobre dernier, 545 enfants n’avaient toujours pas retrouvé leurs parents après le projet pilote de 2017.