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L'article provient de Le Journal de Montréal

L’animateur et chroniqueur Hugo Langlois sera candidat pour le Parti conservateur du Canada dans Beauport–Limoilou

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Photo portrait de Jean-François Racine

Jean-François Racine

24 mars à 5h
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L’animateur et chroniqueur Hugo Langlois sera candidat pour le Parti conservateur du Canada dans la circonscription fédérale de Beauport–Limoilou.

La bataille s’annonce féroce dans ce secteur de la Capitale-Nationale.

Alors que la bloquiste Julie Vignola sollicitera un troisième mandat, le Parti libéral du Canada a recruté Steeve Lavoie, l’ancien président de la Chambre de commerce et d’industrie de Québec, la semaine dernière.

Les conservateurs ont vite répliqué par un communicateur de 47 ans qui a passé plus de 20 ans en ondes sur plusieurs stations de radio de Québec. Le parti a confirmé l’information en soirée.

Radio et télé

Des affaires publiques au divertissement, Hugo Langlois occupait aussi à l’écran un poste de chroniqueur web et réseaux sociaux chez Salut Bonjour week-end, à TVA.

Père de deux adolescentes, il a étudié à l’Université Laval et au Séminaire Saint-François, où il était président de la Fondation jusqu’à tout récemment. Il mettra désormais ses activités professionnelles sur pause jusqu’au scrutin du 28 avril.

«J’ai consulté mes enfants parce que j’avais besoin de leur appui. Elles ont dit oui sans hésiter», ajoute-t-il.

Dans le secteur de Beauport, le nom de famille Langlois résonne encore. Son père, Jacques Langlois, figure marquante de la politique municipale à Québec, a dirigé l’ancienne ville de Beauport pendant 17 ans. Décédé en 2020, il fut d’ailleurs le dernier maire de Beauport avant son annexion à la ville de Québec. 

En famille

«Je suis né et j’ai grandi à Beauport. J’ai fait plusieurs campagnes électorales avec mon père et c’est clairement lui qui m’a transmis la passion et surtout le respect pour la politique», a confié le nouveau candidat du PCC.

Hugo Langlois explique qu’il souhaite en faire plus pour sa région.

«Nous sommes dans une période d’incertitude au pays. Les tarifs nous frappent alors que notre économie est affaiblie, mais la région a besoin d’un leadership fort sur plusieurs enjeux qui touchent les gens de Québec.»

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