Publicité
L'article provient de Le sac de chips
Célébrités

La soeur d’Elon Musk dirige un genre de Netflix érotico-mocheton

Photos AFP
Partager
Photo portrait de Frédéric  Guindon

Frédéric Guindon

2022-06-09T18:27:20Z
Partager

Dans la catégorie «Choses qu’on ne savait pas, mais qu’on sait maintenant», voici la plus récente entrée.

Tosca Musk, la petite soeur d’Elon, a fondé Passionflix, une plateforme dédiée à la diffusion de films et de séries à l’eau de rose.

• À lire aussi: Elon Musk rejette des accusations d’agression sexuelle et évoque un complot

C’est en effet en 2017 que la femme de 47 ans a mis sur pied Passionflix en compagnie de la scénariste Joany Kane et de la productrice Jina Panebianco, rapporte Business Insider.

Le service de streaming propose des émissions et des longs-métrages romantiques, à forte tendance érotique, mais pas pornographique.

Pour 5,99$ par mois, on peut y trouver des titres comme Resisting Roots (mettant en vedette Lou Ferrigno Jr., le fils du gars qui faisait l’Incroyable Hulk dans les années 1970).


Musk, qui est la PDG de l’entreprise, a pu monter son affaire grâce à un financement initial de 22 millions de dollars, mais elle refuse de dire si son illustre frère (qui est, accessoirement, l’homme le plus riche au monde) y a investi quelque somme.

Publicité

• À lire aussi: Elon Musk milite pour le retour des pailles en plastique et internet est fâché

«Si je dis qu’il est investisseur, alors tout le monde dit: “Oh, elle a juste fait payer son frère” et si je dis qu’il n’a pas investi, alors vous dites tous: “Il ne la soutient pas”», a déclaré la femme d’affaires sud-africano-canado-américaine, qui a aussi réalisé plusieurs productions disponibles sur Passionflix.

La plateforme, que le New York Times décrit comme un «canal Hallmark sexy», utilise un «baromètre de grivoiserie» pour classer ses films et ses séries.

• À lire aussi: Une ancienne star du porno demande à Elon Musk de bannir la pornographie sur Twitter

Ainsi, vous pourriez avoir le choix entre un film classé «Oh tellement vanille» et un autre catégorisé «vos orteils vont se crisper de délice». On présume que ce dernier serait plus cochon que le premier.

Madame Musk a toutefois précisé au New York Times que le site permettait le contenu érotique, mais pas la nudité frontale en bas de la ceinture.

À voir aussi sur le Sac de Chips: 

Publicité
Publicité

Sur le même sujet