La fille de l’UQAM Hélène Boudreau très triste d’être devenue Cendrillon malgré elle
Caroline G. Murphy
Tous les jours sur Facebook, nous recevons des commentaires qui vont ainsi: «Me semble que ça fait longtemps que vous avez parlé de la fille de l’UQAM, qu’est-ce qui se passe avec elle?», ou ainsi: «Pourquoi vous n’écrivez pas plus sur Hélène Boudreau, on veut plus de textes».
Pourtant, on en parle quand même souvent. Voici d’ailleurs les dernières fois où c'est arrivé.
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Et nous allons en parler aujourd’hui encore.
Parce que samedi soir, Hélène Boudreau, alias iamhely – comme l’indique bien le collier de diamants que porte la femme dans son cou et ça c’est très pratique parce qu’en tant que journaliste si on oublie son nom on a juste à regarder dans son cou –, s’est transformée en véritable Cendrillon, version OnlyFans.
Et qui dit Cendrillon dit évidemment mauvais film avec Chad Michael Murray qui ne reconnaît pas Hilary Duff juste parce qu’elle a un petit masque dans la face. Mais dit aussi: perte dramatique d’un seul soulier.
C’est ce qui est arrivé à la fille de l’UQAM à l’origine de la photo la plus controversée de 2021. Alors qu’elle participait à une soirée bien arrosée dans un bar de Laval en tant qu’invitée spéciale et qu’elle avait retiré ses souliers un peu parce que qui n’a jamais eu mal aux pieds pendant une soirée, la créatrice de contenus exotiques s’est fait voler UNE CHAUSSURE. Le crime a fait pleurer la Québécoise et a gâché sa fin de soirée.
Iamhely est dévastée et a raconté toute l’histoire dans ses stories Instagram. Car il s’agit quand même de chaussures de designer, des Saint-Laurent, achetées à Paris et qui ne se trouvent pas à Montréal, aux dires de la victime qui n’a maintenant qu’un seul talon haut.
Voici le soulier en question:
Hélène Boudreau souhaite ardemment réunir ses deux escarpins avant longtemps et assure que ce n’est pas une question d’argent. Elle trouve ça un peu dégueulasse d’imaginer son pauvre soulier solitaire entre les mains d’un fétichiste de pieds. «Seigneur mon pauvre soulier» a-t-elle d’ailleurs commenté.
Si la personne qui a commis le larcin lit ses lignes, elle sera peut-être heureuse d’apprendre qu’elle pourra se racheter en allant déposer anonymement le butin au 9, rue de la Commune à Montréal. C’est l’ancienne boutique de tatouage de la fille de l’UQAM. Faites-le donc. Ce n’est pas vraiment gentil de voler.
Pour l'instant, rien n'indique qu'il s'agit d'une fausse alerte comme la fois où elle pensait s'être fait voler son Jeep et que finalement ce n'était pas le cas, mais nous resterons à l'affût pour vous.
- Regardez Hélène Boudreault en entrevue au micro de Sophie Durocher ,disponible en balado sur QUB radio :
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Merci de nous avoir lus.