La fille de l’UQAM fait semblant de s'être inséré une tour Eiffel lumineuse dans le derrière
Frédéric Guindon
Allons! Enfants de la patrie, le jour de gloire est arrivé!
En mars 1889, Gustave Eiffel et son équipe de braves ouvriers complétaient la monumentale érection de la tour Eiffel, juste à temps pour l’Exposition universelle de Paris, qui devait célébrer le centenaire de la Révolution française.
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Culminant à 330 mètres, elle est alors la plus haute construction au monde. En peu de temps, elle s’impose comme le symbole ultime de Paris et de la France.
Depuis, des millions de répliques miniatures de formats aussi variés que les prix auxquels elles se vendent ont été produites, que ce soit en France ou en Chine.
Lorsque l’on se procure un tel objet de collection, le plus souvent, on le place sur une étagère, bien en vue, et on le laisse accumuler la poussière comme un triste bibelot.
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Mais notre «Fille de l’UQAM» nationale, elle, n’est pas du genre à faire les choses comme tout le monde.
En visite dans la Ville Lumière, Hélène Boudreau a, comme des millions de gens, acquis une réplique lumineuse de l’oeuvre de Gustave Eiffel.
Et au lieu de la mettre sur une tablette dans son salon, elle a fait mine de se l'être inséré là où il fait (habituellement) toujours noir.
Paris, Ville Lumière qu’ils disaient...