La deuxième saison de Sortez-moi d’ici! plus intense que jamais
DIMANCHE 18 H 30, TVA
Nathalie Slight
Vous avez aimé la première saison de Sortez-moi d’ici!? Vous adorerez la deuxième, qui se déroule au cœur de la jungle panaméenne. Et les campeurs feraient mieux de s’accrocher puisque, cette année, les animateurs Alexandre Barrette et Jean-Philippe Dion leur réservent des défis encore plus difficiles!
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Alexandre, quelle est la principale différence entre la première saison au Costa Rica et la deuxième, au Panama?
Du point de vue de l’animation, une destination ou une autre, ça ne fait pas vraiment de différence. Mais les campeurs, eux, ont vécu dans des conditions plus hostiles que l’an dernier. La jungle panaméenne est plus humide, plus dense, plus sauvage. Les cris omniprésents des singes hurleurs étaient tout aussi puissants qu’agressants... limite épeurants. Les campeurs étaient vraiment plongés dans un état de survi
Dans la bande-annonce, tu affirmes que les défis seront plus difficiles cette année. Peux-tu nous en dire plus?
Le tout premier défi, auquel prennent part Philippe Laprise, Sophie Durocher et Sébastien Toutant, était de loin la chose la plus stressante dont j’ai été témoin de toute ma vie. Les campeurs marchent sur un fil de fer tendu entre deux édifices du centre-ville de Panama City, au 53e étage. Même si c’était hyper sécuritaire, c’est exactement le genre de défi auquel moi, personnellement, je n’aurais jamais participé! Juste de me trouver sur un balcon du 53e étage pour animer, j’avais le vertige!
Quelle est la dynamique entre les participants?
L’ambiance est différente de l’an dernier, mais toujours aussi bien-veillante. Il faut dire que le concept de l’émission n’invite pas à la compétition entre les participants. Il n’y a donc pas de confrontation, de mensonge ou de bisbille, parce que chaque campeur participe aux épreuves dans le but de remporter des privilèges pour le groupe. Des liens se tissent donc rapidement entre eux.
Quels campeurs t’ont le plus impressionné?
La cadette du groupe, Audrey Roger, m’a impressionné par sa capacité d’adaptation; Sébastien Toutant, par son côté guerrier; et Dave Morissette, par sa joie de vivre et son leadership. Je connaissais déjà bien Rosalie Vaillancourt, mais j’ai découvert une facette très touchante de sa personnalité. Lors des défis, Alex Perron est super efficace. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, il est un solide gars de plein air. De son côté, Clodine Desrochers s’est donnée à fond pour surmonter ses nombreuses peurs. Et Patricia Paquin... attendez de voir à quel défi elle a pris part, ses cris me hantent encore! (Alex réfléchit et ajoute:) Tous les campeurs nous ont surpris à un moment ou l’autre de l’aventure, par leur humour, leur audace, leur grand cœur, leur esprit d’équipe ou leur habileté à survivre dans la jungle.
Avant de participer à Sortez-moi d’ici!, les campeurs dévoilent leurs plus grandes peurs dans un questionnaire. Auraient-ils pu mentir pour que leurs défis soient plus faciles à relever?
Certains y ont sûrement déjà pensé! (rires) Plus sérieusement, les célébrités qui participent à Sortez-moi d’ici! le font afin de remporter le grand prix de 50 000 $ pour une cause qui leur tient à cœur, mais aussi pour la dimension «dépassement de soi» du jeu. Ils ont donc tout avantage à partager leurs véritables phobies afin de vivre l’expérience à fond. L’équipe de production prend aussi le temps de rencontrer chaque participant avant l’aventure, et même de discuter avec leurs proches au besoin. C’est d’ailleurs de cette façon que nous avons appris que Patricia Paquin détestait les serpents pour mourir!
Quel serait le pire défi qu’on pourrait t’imposer si tu participais à Sortez-moi d’ici!?
Tous! (rires) J’ai peur des serpents, des bibittes, des hauteurs, des sauts dans le vide... Juste prendre l’avion pour me rendre au Panama, j’ai trouvé ça stressant. J’apprécie le confort de l’animation et j’admire le courage de tous les campeurs!
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