Julie Perreault visite le pays d’origine de son amoureux
Samuel Pradier
Julie Perreault et son amoureux, George Kontogiannis, affichaient un magnifique bronzage sur le tapis rouge de la comédie musicale Hair, lundi dernier. Ils revenaient tout juste d’un voyage de deux semaines en Grèce, le pays d’origine de George.
• À lire aussi: Toutes les vedettes québécoises sur le tapis rouge fleuri de la première de Hair
«J’ai grandi en Grèce, a-t-il expliqué. J’y ai fait mon école primaire, mais c’était la première fois que Julie visitait mon pays.» La comédienne avait encore des étoiles plein les yeux en évoquant son voyage. «C’était fantastique! Tout est magnifique, tout est dépaysant, ce n’est pas du tout américanisé. Il y a juste la beauté des paysages. On a eu tellement de plaisir!» Le couple en a profité pour visiter les sites réputés, comme l’Acropole et le Parthénon, pour finir à Santorin. «C’est vraiment une place pour s’aimer», a conclu Julie dans un éclat de rire. George, qui est pompier de profession, lui a aussi fait visiter la région de sa famille, le Péloponnèse, puisqu’il est originaire du petit village de Loutráki, près de Corinthe. C’était le neuvième voyage du couple, qui est ensemble depuis trois ans et demi.
• À lire aussi: Mélanie Maynard et Julie Perreault prises d'un fou rire contagieux à Sucré salé
Julie Perreault sera prochainement de retour au travail, car elle reprendra à la mi-juillet le tournage de Doute raisonnable. «Les textes sont vraiment bons. C’est le fun quand on poursuit pour une seconde saison, parce qu’on peut approfondir notre personnage. On lit les textes et on a juste hâte de les jouer. Ça va être une belle saison, tant pour les téléspectateurs que pour nous, sur le plateau.»
• À lire aussi: Julie Perreault est prête pour la troisième saison de Doute raisonnable
Elle sera ensuite de retour comme réalisatrice pour la série STAT. «Je vais sans doute être dans l’équipe régulière de réalisation. J’aime beaucoup ça, car c’est un beau mélange avec la photo, mais c’est un métier complexe. Il y a beaucoup de choses à apprendre, on a beaucoup de responsabilités, il faut avoir les yeux partout. C’est un peu comme être photographe avec une équipe de 60 personnes.» Enfin, elle nous a donné des nouvelles de son fils, Thomas, qui suit les traces de ses parents. «Il vient de sortir du Conservatoire, cette année. Il va faire son chemin dans ce métier.»