Jean-Philippe Dion promet des épreuves plus difficiles pour la 2e saison de Sortez-moi d’ici!
TVA, DIMANCHE 18 H 30, DÉBUT: 3 mars
Samuel Pradier
Après le Costa Rica, c'est sous le chaud soleil du Panama que la production de Sortez-moi d'ici! a installé son campement. Les conditions de vie des campeurs s'annoncent plus rudes, et le degré de difficulté des épreuves a été revu à la hausse. Jean-Philippe Dion, coanimateur et producteur, nous en dévoile un peu plus.
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Jean-Philippe, comment s’est déroulé le tournage au Panama?
On avait eu chaud la première saison, mais je peux dire qu’on a eu très chaud au Panama! Au Costa Rica, on ne sentait pas le côté aride de la jungle comme on l’a ressenti au Panama. On était aussi installés dans une réserve où il y a vraiment beaucoup d’animaux de toutes sortes. C’était très exotique.
Vous avez donc été en contact avec plusieurs animaux...
Au Panama, il y avait des serpents venimeux partout, tout le temps. Alex (Alexandre Barrette) et moi partions du petit village où séjourne l’équipe de production pour nous rendre jusqu’à la scène du gala de la jungle chaque soir. On marchait avec un monsieur qui prend soin des animaux, qui surveillait les alentours pour que ce ne soit pas dangereux pour nous ni pour les animaux. Il nous éclairait avec sa lampe de poche, et on a souvent vu des caïmans, qui ont l’air de petits crocodiles.
Cette saison, comment est le campement de base?
En visitant le camp la première journée, avant que les candidats arrivent, on entendait hurler, et je me demandais ce que c’était. Finalement, je me suis aperçu que c’était des singes hurleurs. Ils nous jetaient des noix, et on a compris que ça ne faisait pas trop leur affaire qu’on soit là! On s’est tout de suite imaginé à quel point le fait de vivre ainsi au milieu de la jungle allait être difficile pour les campeurs. Je pense que la première nuit, il n’y a personne qui a réellement dormi, surtout parce que Dave Morissette ronflait vraiment très fort. Toutefois, l’humain s’adapte partout!
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Dites-nous-en plus sur le niveau des épreuves...
On a haussé le niveau des épreuves d’un cran. En fait, on s’est fait surprendre par les campeurs lors de la première saison. On pensait qu’on était à un niveau extrême de difficulté, mais les participants arrivent là tellement déterminés! Ils se sont entraînés physiquement, ils se sont concentrés des semaines à l’avance sur ce qui les attend, et ils sont toujours meilleurs que ce qu’on pense. Cette année, on a vraiment augmenté le degré de difficulté, autant dans les défis physiques que dans les épreuves de nourriture dégueulasse.
On se souvient qu’au Costa Rica, vous avez dû affronter diverses intempéries durant le tournage. Avez-vous bravé les éléments cette saison aussi?
Cette année, le camp est beaucoup plus aride, plus sauvage. Il n’y a pas de jolie petite rivière à côté. On a voulu qu’il y ait quand même un endroit avec de l’eau pour que les campeurs puissent se rafraîchir. On a créé une espèce de bassin, mais la veille du premier jour de tournage, il a tellement plu qu’il s’est rempli d’eau... et aussi de grenouilles et de crapauds! Or, on a une candidate dont la plus grande phobie est justement les grenouilles. Toute l’équipe s’est mise à paniquer, avant de découvrir qu’en versant des poches de sel dans l’étang, ça allait éloigner les grenouilles.
Est-ce que la météo a également créé des problèmes durant certains défis?
Durant le pire défi que Dave Morissette a eu à accomplir — il devait littéralement être enterré vivant —, il s’est mis à pleuvoir beaucoup. On a dû arrêter le tournage pendant une heure. Ce qui était difficile pour lui, c’est qu’on lui a présenté l’épreuve, et il a attendu dans une voiture, isolé des autres, pendant une heure et demie, durant laquelle il a appréhendé le moment. C’était encore plus rude!
Ne manquez pas Sortez-moi d'ici! dès le dimanche 3 mars, à 18h30, à TVA et sur TVA+.