«Je vivais sous le règne de terreur»: Lysandre Nadeau ramasse à son tour Qc Scoop
LE SAC DE CHIPS
La saga entourant Qc Scoop continue de faire jaser ce matin alors que Lysandre Nadeau dénonce à son tour les pratiques du site à potins.
Qc Scoop se fait ramasser sur les réseaux sociaux par plusieurs artistes et influenceurs qui dénoncent les pratiques douteuses du compte Instagram (qui est aussi un site de potins) depuis que celui-ci a partagé une rumeur sur Rafaëlle Roy ludin matin.
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Lysandre Nadeau, que le grand public a découvert à Big Brother Célébrités, n’a pas mâché ses mots quant au «règne de terreur» de Simon Waddell et son équipe. La nouvelle maman affirme avoir longtemps hésité à parler publiquement de ce sujet, mais a décidé cette semaine de joindre sa voix aux autres dénonciations.
«J’ai très peur de ne plus être dans ses bonnes grâces. [...] Il m’a épargné à plusieurs reprises et je ne viens pas à sa défense... mais j’ai vécu dans le règne de terreur [...]», a lancé l’influenceuse.
Lysandre explique que Simon Waddell a été dans les premiers à apprendre qu’elle était enceinte. Voulant taire la nouvelle et éviter que le tout s’ébruite avant qu'elle soit prête à l'annoncer publiquement, elle a dû passer un accord avec lui.
«Il a fallu que je fasse un deal avec lui pour pas qu’il ne scoop ma grossesse. [...] Il allait être le premier à pouvoir publier et j’allais devoir lui donner toutes les informations avant tout le monde».
Elle ajoute que Qc Scoop était au courant du sexe de son bébé, du moment de sa naissance et même de son nom avant qu’elle puisse en faire l’annonce elle-même. Elle déplore que la page ait voulu dévoiler le nom de son bébé alors que celui-ci était une surprise pour le grand-père, qui porte le même prénom.
Elle précise que l'administrateur du site, qu'elle connait, n'a finalement rien publié de tout ça. «Il m'a épargné.» Mais elle affirme quand même avoir vécu dans la terreur durant toute sa grossesse, et même lors de son accouchement d'un bébé malade.
Elle termine en disant que ce genre de page ne fait du bien à personne.
«Je pense que c’est super malsain. [...] Je m’imagine que s'il n’avait pas respecté mes décisions et qu’il avait scoopé mes trucs, j’aurais été profondément malheureuse».
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