Un journaliste a passé une journée dans un cinéma porno et ce qu’il a vu est très très très spécial
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Frédéric Guindon
Louis-Philippe Messier, du Journal de Montréal, a visité le Cinéma L’Amour, mais ce qui l’a marqué ne se passait pas sur le grand écran.
Pour sa chronique urbaine «Montréal tout-terrain», le journaliste a passé une journée, incognito, au seul cinéma érotique du Québec et en est ressorti avec un récit fascinant qui lève le voile sur les «rapprochements» qui y sont pratiqués.
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Bien sûr, le point de départ de son reportage «Nus au cinéma... sauf pour le masque» était de vérifier à quel point les consignes sanitaires y étaient respectées et [DIVULGÂCHEUR] comme il l’écrit lui-même, c’est «à géométrie variable».
En fait, tout au long de son texte, il raconte avec plusieurs détails croustillants les péripéties sexuelles des différents clients qui fréquentent le cinéma.
On se doutait bien que des activités «particulières» s’y tenaient, mais on s’imaginait des gens qui faisaient leur petite affaire, tout seuls dans leur coin.
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Mais non! Messier raconte des histoires de fellations entre hommes, de masturbations à plusieurs, de mesdames qui viennent assouvir plusieurs messieurs à la fois, etc., dont il a non seulement été témoin, mais qu’en plus, il a été capable de photographier à la sauvette.
Pour vrai, c’est capoté!
On vous invite à lire le passionnant reportage de Louis-Philippe Messier, ICI, sur le site du Journal de Montréal.