«Il n’y a pas de mots pour décrire cette déshumanité»
TVA Nouvelles
Les nouvelles horreurs découvertes à Boutcha sont indescriptibles, croit Régine Laurent.
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«C’est comme s’il manquait des mots à la langue française pour être capable de décrire l’horreur, cette déshumanité», estime-t-elle.
Même s’il est possible d’utiliser les termes génocides et crimes de guerre, ce qui s’est passé à Boutcha est encore bien pire.
Le plus révoltant, souligne Régine Laurent, c’est qu’il ne s’agit pas de l’initiative de soldats déjantés, mais que l’état-major était au courant.
Malgré tout, Moscou continue de nier sa responsabilité dans cette affaire.
Des images insoutenables
Malgré tout, Régine Laurent est d’avis que les images du massacre doivent être présentées.
«C’est vrai que les images sont très dures, mais il faut qu’on sache. Même moi, j’ai baissé les yeux à quelques reprises», avoue-t-elle.