Hélène Boudreau affirme qu’elle va changer de nom dans 5 ans
Frédéric Guindon
La «fille de l’UQÀM» avertit ses admirateurs qu’elle risque de disparaître de la vie publique dans quelques années.
• À lire aussi: Hélène Boudreau se fait inviter à un bal de finissants par un gars de 18 ans et elle y va
Dans une séance de questions-réponses sur Instagram, Hélène Boudreau a fait plusieurs révélations intéressantes.
Elle a d’abord mentionné qu’elle chargerait désormais 20$ aux gens qui veulent prendre une photo avec elle.
• À lire aussi: Noémie Dufresne se fait mettre dehors d’une cathédrale célèbre à cause de son habillement inapproprié
Elle a aussi indiqué qu’elle allait subir une réduction mammaire en septembre.
Mais elle a également raconté qu’elle envisageait de changer de nom, pour des raisons fiscales.
«Le monde me demande pourquoi je veux changer de nom, parce que je vais toujours avoir la même face, et vous avez raison. C’est juste par fiscalité», explique-t-elle dans une story.
«Je veux bâtir mon empire en immobilier, puis avoir le nom d’Hélène Boudreau n’est pas très viable auprès des banques, et auprès de la fiscalité. Donc je vais juste changer de nom pis ça va être plus facile», ajoute-t-elle.
• À lire aussi: Hélène Boudreau, la fille de l’UQAM, s’est fait limer les dents et ses admirateurs sont consternés
Quand un usager d’Instagram lui a demandé quel nom elle aimerait choisir, elle en a ajouté une couche.
«Voyon le principe de changer de nom c’est justement que personne le sache mon nouveau nom légal. Je vais jamais le dire ici. comme j’ai dit ma avoir la sainte paix dans 5 ans car je vais être à la retraite et si je suis chanceuse même avant 5 ans profitez-en maintenant lol», a écrit celle dont la photo de finissante avait fait le tour du monde.
Vous voilà (et nous voilà) avertis: le plan de carrière d’Hélène Boudreau est de prendre sa retraite d’ici 5 ans pour profiter du fruit de ses investissements.
On espère quand même qu’elle continuera de pimenter l’internet québécois de ses interventions juteuses.
