Il s’introduit dans une ferme en Beauce pour commettre un acte de bestialité avec une vache
Agence QMI
La police a ouvert une enquête sur une introduction par effraction dans une ferme de la Beauce lors de laquelle un homme a été filmé en train de commettre l’impensable avec une vache, et dont les images de l’agression font le tour des réseaux sociaux.
L’individu, qui était assurément loin de se douter que ses ébats seraient filmés par une caméra de surveillance, s’est introduit par effraction dans un bâtiment agricole dans la nuit de dimanche à lundi, à Saint-Simon-les-Mines, non loin de Beauceville.
Malheureusement pour le suspect, la scène de bestialité a été enregistrée en entier par une caméra qui pointait dans sa direction.
***AVERTISSEMENT - IMAGE CHOQUANTE***
— Maxime Deland (@MaxDelandQMI) April 14, 2020
La Sûreté du Québec recherche un homme qui s'est introduit par effraction dans un bâtiment agricole de Saint-Simon-les-Mines, en Beauce, pour commettre l'impensable avec une vache. Une enquête est en cours dans ce dossier. pic.twitter.com/tQLQyseq8W
On peut notamment apercevoir l’individu, portant une casquette, un pantalon et un kangourou, grimper sur une botte de foin pour être à la bonne hauteur lors de l’acte, qui dure plusieurs minutes.
Le crime aurait été commis vers 2h du matin.
Des images enregistrées par la caméra de surveillance ont été diffusées sur les réseaux sociaux par une personne de l’entourage de la ferme familiale. Cette personne n’a pas répondu à notre demande d’entrevue.
«Attention, images dégueulasses. Il faut le trouver SVP, aidez-nous, partagez, c’est sûr qu’il est du coin et que quelqu’un le connaît! Merci énormément de l’aide», écrit la jeune femme, en faisant référence au crime commis dans la ferme familiale.
Mardi après-midi, la publication avait été partagée plus de 7500 fois sur Facebook et plusieurs centaines d’internautes l’avaient commentée.
La Sûreté du Québec n’a pas voulu fournir davantage d’informations quant aux événements, se limitant à dire qu’une «enquête est en cours dans ce dossier».
Aucune arrestation n’a encore été effectuée dans cette sordide affaire.
Au Canada, une personne qui est reconnue coupable de bestialité s'expose à une peine maximale de 10 années d'emprisonnement.