Enquête: Marc Bergevin n’est pas en danger
Agence QMI
Le directeur général des Canadiens de Montréal, Marc Bergevin, a été interrogé dans le cadre de l’enquête indépendante concernant les allégations d’agression sexuelle dont fait l’objet un ancien responsable de la vidéo des Blackhawks de Chicago, mais son nom ne figure pas dans le document de 107 pages publié mardi à ce sujet.
Ainsi, comme il l’avait lui-même mentionné en juin dernier, Bergevin n’a pas participé à une rencontre à l’interne à propos des gestes répréhensibles qu’aurait commis Brad Aldrich sur deux joueurs au printemps 2010. À l’époque, le Québécois était directeur du personnel des Hawks.
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«C'est sorti récemment, il y a eu une réunion dont j'ai entendu parler qui s'est tenue à Chicago. Je ne faisais partie d'aucune réunion et je n'ai pas été impliqué dans la décision, avait dit le DG du Tricolore en vidéoconférence. Je n'étais pas au courant de la moindre chose qui se passait à cet égard à l'époque. Vous pouvez me citer là-dessus.»
Ladite rencontre a été tenue, selon le rapport diffusé mardi, en présence notamment de Joel Quenneville, qui était le pilote du club. Le DG Stan Bowman, qui a démissionné au cours de la journée, et son adjoint Kevin Cheveldayoff – aujourd’hui DG des Jets de Winnipeg – y ont aussi pris part.