Publicité
L'article provient de Le Journal de Montréal
Monde

Plans militaires partagés avec un journaliste: «C’est une blague?» réagit Hillary Clinton

Lecteur vidéo en cours de chargement.
Temps actuel 0:00
Durée 0:00
Chargé: 0%
Type de flux EN DIRECT
Temps restant 0:00
 
1x
    • Chapitres
    • descriptions désactivées, sélectionné
    • Sous-titres transcrits désactivés, sélectionné
        Partager

        Agence QMI

        25 mars à 14h45
        Partager

        La réaction de l'ancienne candidate démocrate Hillary Clinton à l’inclusion par erreur d’un journaliste à un groupe de discussion à propos de frappes américaines à venir sur des Houthis au Yémen a fait vivement réagir sur les médias sociaux.

        • À lire aussi: Des chefs du renseignement américain questionnés au Sénat sur les plans militaires divulgués

        • À lire aussi: Partage d’un plan de guerre confidentiel: un «pépin (...) sans gravité» dit Donald Trump

        • À lire aussi: Plans américains divulgués: aucune information classifiée n’a été partagée, selon la Maison-Blanche

        Le journaliste de The Atlantic Jeffrey Goldberg a révélé lundi qu’il avait été inclus par erreur dans une conversation sur l’application Signal qui a fait en sorte qu’il a su d’avance que des frappes allaient avoir lieu.

        Dans une publication sur le réseau social X, Mme Clinton a réagi, elle qui s’était retrouvée au cœur d’une controverse autour de l’envoi de courriels stockés sur un serveur externe, une pratique jugée non sécuritaire à l’époque par les républicains.

        «C’est une blague?», a écrit l’ancienne candidate démocrate, accompagnée d’un emoji de yeux.

        Cette réaction a fait vivement réagir sur la toile, en raison de son ironie.

        «Elle a raison d’être fâchée sur ce coup, je ne vais pas mentir», a notamment écrit l’utilisateur electionsjoe, dans une publication qui cumule plus de 200 000 mentions j’aime.

        Mardi matin, le président Donald Trump a réagi à cette fuite en indiquant qu’il s’agissait d’un «pépin [...] sans gravité», avançant notamment qu’aucune information classifiée n’avait été envoyée.

        Publicité
        Publicité