En amour depuis six mois, Jean-Marc Couture fait de rares confidences
Daniel Daignault
C’est sous le signe du bonheur que s’est déroulé cet entretien avec le chanteur et musicien Jean-Marc Couture, qui a trouvé à la fois une famille et une femme pour faire battre son coeur! La famille, c’est La Chicane, un groupe dont il fait partie depuis le printemps 2022. Un nouvel album va d’ailleurs voir le jour en septembre, précédant sans doute une longue série de spectacles. Quant à la femme pour qui il a craqué il y a maintenant plus de six mois, elle se prénomme Athina.
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Jean-Marc, tout d’abord, tu habites au Nouveau-Brunswick ou au Québec?
J’ai redéménagé au Nouveau-Brunswick. Pendant la pandémie, je m’étais installé là-bas, et quand ça s’est terminé, j’étais tout content de revenir à Montréal. Mais finalement, avec le temps, j’ai réalisé que j’étais bien par chez nous, et je suis reparti vivre au Nouveau-Brunswick.
Et tu habites avec ton père?
Oui. Ma mère est décédée il y a deux ans, alors que je venais de m’installer à Montréal. Elle a fait une crise cardiaque pendant la nuit. Elle aurait eu 65 ans cet été. Mon père se retrouvait donc seul, il l’a eu pas mal rough. Ça faisait presque 40 ans qu’ils étaient ensemble. Mon père a eu 75 ans cet été, et après le décès de ma mère, j’ai décidé d’aller vivre avec lui.
As-tu des frères et soeurs?
J’ai un frère qui a 20 ans de plus que moi, il habite à Moncton.
Comment as-tu vécu le départ de ta mère?
Ç’a été dur. Elle pouvait m’appeler trois ou quatre fois par jour quand je suis parti étudier. Je lui disais d’arrêter de me téléphoner aussi souvent, mais en vieillissant, je me suis mis à aimer ça. J’ai tout le temps été vraiment proche d’elle. Quand on a lancé l’album de La Chicane, ça faisait environ trois semaines qu’elle était partie, et j’étais heureux de revenir à la musique. Mon père est venu au lancement et je me suis dit que ma mère aurait voulu que je revienne au Nouveau-Brunswick. C’est sûr que je voulais être avec mon père, mais j’ai aussi réalisé en revenant à Montréal que le Nouveau-Brunswick me manquait. Toute la famille est là, j’ai encore des chums qui y habitent, et puis c’est plus tranquille. Mes attaches sont là. Et bien sûr, c’est là-bas que j’ai rencontré cette demoiselle, Athina Hudon. Elle habite à Bathurst, à environ une heure de chez nous. Ça a tellement cliqué! On vient du même coin et on est à la même place dans nos vies.
Elle travaille là-bas?
Oui, elle a deux crèmeries au Nouveau-Brunswick, qui s’appellent L’Igloo. Il y en a une à Bathurst et l’autre est à Petit-Rocher, dans la région de Belle-Baie. C’est son père qui les a lancées il y a plus de 52 ans, ce sont des institutions dans la région. C’est vraiment spécial; les arbres poussent dans les bâtiments. C’est vraiment flyé. Ce sont de beaux commerces qui sortent de l’ordinaire, et des travaux ont été faits, entre autres sur la terrasse, qui a été rénovée. Il y a des petits événements qui se font à cet endroit, c’est magique. Athina a étudié en marketing à Ottawa et elle a repris les crèmeries de son père. Ça roule, ça marche vraiment bien. C’est une passionnée, elle fait ça avec beaucoup d’amour. C’est beaucoup de travail l’été. Elle organise tout et voit à ce que ça fonctionne, et quand c’est possible, elle vient me voir en spectacle.
Comment vous êtes-vous rencontrés? Es-tu allé manger un cornet à sa crèmerie?
Non, je faisais deux spectacles à Bathurst dans une nouvelle salle, deux vendredis soirs de suite. Le dernier soir, le gérant de la place m’a invité à aller prendre un verre à côté, à un endroit qui s’appelle le Lou’s Pub. Ç’a adonné que Athina est arrivée là avec des amis, 15 minutes avant que ça ferme. Elle connaissait du monde à ma table. C’était comme dans un film: je l’ai vue arriver vers moi au ralenti. Je bégayais quasiment!
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Ç’a été le coup de foudre?
Oui, vraiment. Sa personnalité et sa façon d’être m’ont charmé. Elle est belle, mais c’est surtout ce qu’elle dégage. Ça va vraiment bien. Quand on s’est rencontrés, on pensait qu’on n’aurait presque pas le temps de se voir à cause de nos emplois, mais finalement, on se voit tout le temps. Après une semaine à se dater, on ne voulait plus se lâcher. C’était comme si on se connaissait déjà. De son côté, il fallait qu’elle sorte longtemps avec un gars avant de le présenter à sa famille, mais ça s’est fait naturellement pour nous. Ça faisait une semaine qu’on se connaissait et je l’ai emmenée un soir dans ma famille. Et elle a fait la même chose; je suis allé en Guadeloupe avec elle et sa mère, entre autres. Il y a une belle chimie entre nous, et comme on vient de la même place et qu’on a les mêmes références, tout coule facilement.
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