Elisabetta Fantone revient sur la naissance difficile de son fils, né prématurément
Vanessa Hébert
Dans un texte rempli d'émotion, Elisabetta Fantone s'est confiée à ses abonnés à propos de sa deuxième grossesse qui ne s'est pas du tout déroulée comme elle l'espérait.
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En entrevue dans nos pages en novembre dernier, on apprenait que l'artiste et actrice était enceinte de son deuxième enfant, un garçon dont la naissance était prévue pour décembre. Elle et son conjoint, Patrice, sont déjà parents de la petite Abigail.
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Or, comme elle est normalement très active sur ses réseaux sociaux, donnant accès à de magnifiques moments en famille, plusieurs abonnés ont remarqué qu'il n'y avait nul part de trace de ce nouveau membre de la famille et que, d'ailleurs, ses publications se faisaient plutôt rares depuis quelques mois.
Voilà qu'au courant de la fin de semaine, celle qui a été découverte au public avec Loft Story en 2006 a écrit un message déchirant dans lequel elle raconte, avec beaucoup de douleur, l'histoire de naissance «différente» de son fils, qui est né à 28 semaines.
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«C'est une histoire de naissance différente, une que je n'aurais jamais anticipée. Une qui a testé ma foi et ma personnalité. Une qui m'a empêchée de vivre une grossesse complète. Une qui m'a empêchée de vivre le bel accouchement que j'espérais tant vivre plus qu'une fois. Un bel accouchement que lui aussi méritait, une expérience euphorique comme celle que j'avais vécue avec mon premier enfant. Une histoire que j'avais promis à ma fille qu'elle pourrait en être témoin, car je voulais qu'elle puisse voir à quel point l'accouchement est magique. Je me suis sentie trahie et privée de toutes ces choses qu'une mère devrait vivre en amenant un enfant dans le monde. J'ai ressenti de la colère, de la honte, de la culpabilité, et il n'y a aucune façon de revenir en arrière. Parce que j'avais des questions sans réponses, parce que je sentais que d'une certaine façon je l'ai laissé tomber, les six derniers mois ont été les plus difficiles de ma vie. J'ai pleuré plus de larmes que dans ma vie entière. Un guerrier a grandi en moi et m'en a fait devenir un à mon tour. Né à 28 semaines et pesant seulement 2,1 livres, notre garçon a livré une grande bataille et il a gagné», a écrit en anglais la femme de 40 ans, avec une photo du poupon à l'hôpital.
En commentaires, amis et abonnés ont été nombreux à lui envoyer beaucoup d'amour et de force pour la suite. On se joint à eux pour faire de même!