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Culture

Kim Rusk nous confie quelle a été sa plus grande phobie à «Sortez-moi d’ici!»

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        7jours.ca

        13 avril à 19h35
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        Le mercredi 9 avril avait lieu le visionnement de presse du premier épisode de Sortez-moi d’ici!, où animateurs et campeurs étaient sur place pour parler avec les médias. Nous avons donc ressorti notre quiz thématique sur l’émission afin d’obtenir quelques révélations!

        Voici les réponses de Kim Rusk en vidéo:

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              Lisez l’entrevue complète:

              Qu’est-ce qui te manquait le plus pendant ton aventure?

              C’était de ne pas pouvoir voir mon enfant. C’était vraiment, dès le départ, quelque chose que j’appréhendais. Je me disais, «Oh, mon Dieu, comment je vais faire? Ça va être difficile.» C’était un défi. C’était plus difficile, pour moi, de couper ce cordon-là que les épreuves de Sortez-moi d’ici!, coucher avec des serpents ou des tarentules. Imaginez...

              Avais-tu une obsession culinaire?

              Moi, je suis la fille la plus relaxe sur la terre. On mange ce qu'il y a. Il y a du riz? On mange du riz. Il n’y a pas de riz? On ne mange pas de riz. On mange du cou? On mange du cou. Je suis willing. Je ne vais pas commencer à faire ma difficile. S'il faut que je couche à terre, je couche à terre.

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              Quelle est ta pire phobie?

              Ma pire phobie, c’est assurément les araignées. En fait, ma pire phobie, c’est les nombrils... mais il n’y avait pas de danger qu’il y en ait là-bas!

              Les araignées, dans un contexte où elles te montent au visage, où tu dois mettre ta main, ça m’écœure. Le contact avec l’eau aussi: être dans l’eau, dans l’océan, dans le noir, et ne pas savoir ce qu’il y a en dessous, c’est quelque chose qui peut m’effrayer, oui.

              Justement, qu’est-ce qui est pire: manger des insectes ou en avoir sur toi?

              Définitivement, avoir des insectes sur soi. Parce que — mon Dieu — quand tu les manges, ils sont morts, ils ne peuvent pas t’attaquer!

              Avec qui as-tu été surprise à te lier l’amitié pendant l’aventure?

              Je pense à Pascal Morrissette. En réalité, je ne le connaissais pas. Je connaissais Pascal, mais je ne connaissais pas la personne personnellement. Ç'a été un genre de coup de foudre. La belle Brigitte (Lafleur) qui était à côté de moi aussi, j’ai tripé bien raide sur elle. Jean-Michel Anctil aussi, que j’adore. Mon Dieu, Gino (Chouinard); on se réveille à côté de Gino tous les matins. Et Marc-Antoine (Dequoy): mon grand rêve, c’était de lui tresser les cheveux.

              Mais je les ai tous aimés, c’était vraiment une belle gang. Tellement que quand je suis arrivée, on aurait dit que mon cerveau n’embrayait pas. Je me disais: «Ça ne se peut pas. C’est ça, le casting?» À tel point que l’année prochaine, ça ne sera jamais aussi bon!

              Qui ronflait le plus?

              Jean-Michel ronflait pas mal. Il n’avait pas sa machine (CPAP)!

              Ne manquez pas, Sortez-moi d’ici! dès le 13 avril sur les ondes de TVA. Vous ne pouvez pas manquer ça, c’est le show de l’année, ce n’est pas compliqué!

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