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L'article provient de TVA Nouvelles
Justice et faits divers

Nuit mouvementée au Saguenay: un automobiliste éjecté lors d'une collision et 4 arrestations pour conduite avec capacités affaiblies

Photo d'archives
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Photo portrait de Jérémy Bernier

Jérémy Bernier

28 mars à 7h28
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Un jeune homme de 25 ans a subi d’importantes blessures après avoir été éjecté de son véhicule, dans le secteur de Chicoutimi, à Saguenay, dans la nuit de jeudi à vendredi.

L’accident s’est produit sur le boulevard Talbot, entre la rue des Champs-Élysées et le boulevard de l’Université, vers minuit.

« L’automobiliste de 25 ans aurait été éjecté d’un véhicule en mouvement et aurait subi des blessures sérieuses, mais on ne craint pas pour sa vie », mentionne le porte-parole du Service de police de Saguenay (SPS), Steve Gagnon.

Un sergent-détective et un enquêteur spécialisé en scène d’accident se sont rendus sur place pour mieux comprendre les circonstances de l’accident.

La circulation s’est faite au ralenti durant quelques heures dans le secteur.

Des témoins devront être rencontrés, vendredi, pour faire la lumière dans cette affaire.

Capacités affaiblies

Au courant de la même nuit, pas moins de quatre automobilistes ont été arrêtés pour avoir eu les capacités affaiblies alors qu’ils se trouvaient au volant de leur véhicule.

Les deux premiers ont été appréhendés lors d’un barrage routier du côté de La Baie. Un homme de 40 ans avait plus du double de la limite permise d’alcool dans le sang, tandis qu’un homme de 60 ans dépassait d’une fois et demie la limite permise.

Ils ont tous deux eu leur permis de conduire suspendu pour 90 jours avant d’être libérés par citation à comparaitre. L’un d’eux a aussi perdu sa voiture pour 30 jours.

À Chicoutimi, un homme 40 ans a quant à lui été arrêté pour conduite avec les capacités affaiblies par les drogues.

« Après avoir rencontré l’agent évaluateur, il a été libéré par sommation », précise M. Gagnon.

Finalement, aux petites heures du matin, une quatrième personne a été reconduite au poste de police du SPS pour se soumettre à l’ivressomètre. Son dossier est toutefois toujours en analyse.

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