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L'article provient de TVA Sports
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Cinq bons moments signés Cole Caufield

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TVA Sports

2022-07-20T01:08:22Z
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Le jeune attaquant des Canadiens Cole Caufield a connu une saison 2021-2022 en deux temps : d’abord la sécheresse, qui lui a valu un séjour dans la Ligue américaine, puis le réveil sous les ordres du nouvel entraîneur de l’équipe, Martin St-Louis, à compter de février.

Une fois relancé, le petit ailier américain de 21 ans n’a plus regardé derrière, obtenant 22 buts et 13 mentions d’aide en 37 rencontres. Malgré sa première moitié de saison misérable, il a tout même amassé des votes pour le trophée Calder, remis à la recrue de l’année dans la LNH.

Ce réveil a fait du bien à Caufield, il va sans dire, mais il a aussi fait du bien aux partisans passionnés de l’équipe qui devaient subir, en quelque sorte, l’une des pires saisons de la glorieuse histoire du CH. Au moins, le numéro 22 retrouvait ce flair offensif qui les avait émerveillés lors des séries éliminatoires de 2021. Il n’allait pas s’ajouter au nombre des espoirs de l’organisation dont le talent a étouffé à Montréal au fil des années.

Voici donc, alors que la saison morte est maintenant bien entamée, cinq moments où Cole Caufield a su faire sourire les partisans du CH au cœur d’une campagne des plus compliquées :

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1- Le déblocage

Caufield n’avait marqué qu’un petit but depuis le début de la saison lorsque Martin St-Louis a été nommé entraîneur-chef par intérim du CH, le 10 février. Le soir même, alors que l’équipe affrontait les Capitals au Centre Bell, Caufield est finalement parvenu à inscrire son deuxième filet de la campagne en fin de deuxième période.

«Fiou, peut-être que l’arrivée de St-Louis va le relancer», se sont sans doute dit de nombreux partisans du club. Pour une fois, ils n’ont pas été déçus.

2- Régler le cas des Blues

Sept jours plus tard, le Tricolore reçoit les Blues alors que Martin St-Louis court toujours après sa première victoire à son quatrième match à la barre de l’équipe. Il semblait bien que l’entraîneur allait encore devoir attendre après que Pavel Buchnevich eut donné les devants 2-1 aux Blues avec 1m19s à jouer en troisième période. C’était sans compter sur Caufield, qui a d’abord réussi à créer l’égalité avec dix secondes à jouer... avant de fermer les livres en marquant le but gagnant en prolongation, lançant du même coup une séquence de cinq victoires consécutives.

Cette fois, c’était bien vrai : Cole Caufield était de retour.

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3- Un but de joueur-étoile en prolongation

Déjà auteur d’une mention d’aide sur un but de son acolyte Nick Suzuki plus tôt dans le match, Caufield a donné la victoire aux Canadiens en prolongation contre les Flyers à Philadelphie, le 13 mars, à l’aide d’un impressionnant tir frappé.

L’Américain venait tout juste de sauter sur la patinoire lorsqu’il a reçu la rondelle de Rem Pitlick près de la ligne bleue des Flyers. Après quelques coups de patin, Caufield a laissé partir un véritable «tir des ligues majeures»... le gardien Carter Hart n’était qu’une pauvre victime:

4- Deux buts en huit secondes

Deux jours plus tard, alors que le CH affronte les Coyotes à Montréal, Caufield y va de deux buts en huit secondes en fin de deuxième période. Le deuxième filet, qu’il a inscrit après avoir ridiculisé l’ailier Christian Fischer, était de toute beauté. 

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5- Un premier tour du chapeau

Les Canadiens ont conclu leur calendrier sur une bonne note, le 29 avril, en écrasant les Panthers 10-2 au Centre Bell dans un des rares matchs de la saison où Carey Price était devant le filet.

L’autre vedette du jour, c’était Caufield, auteur de son premier tour du chapeau dans la LNH. Son deuxième but, inscrit après qu’il se soit habilement faufilé entre deux joueurs, fut l’un des plus beaux de la saison du CH.

Le bonus : «Bonne nuit, Tampa!» 

Caufield portait un micro lors de la victoire du 2 avril contre le Lightning, présentée à TVA Sports. Il était certainement intéressant de l’entendre interagir avec ses coéquipiers et surtout, avec l’entraîneur Martin St-Louis. Sa célébration, à la suite du but décisif de Nick Suzuki en fusillade, avait aussi de quoi faire sourire :

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