Ces vedettes québécoises participeront à Hot Ones
Victor-Léon Cardinal
Marc-André grondin fait une pause dans sa carrière d’acteur, le temps d’animer Hot Ones Québec, conversation enflammée. Il nous parle de cette nouveauté brûlante et épicée.
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Grand amateur de la version américaine de Hot Ones, animée par Sean Evans et suivie par 13 millions d’internautes sur YouTube, Marc-André Grondin souligne avoir déjà tenté de vendre cette émission au Québec. «Je produis chez Fair-Play. Il y a six ans, j’avais tenté de vendre ce concept, mais il n’avait pas été retenu. Ce n’est que tout récemment que l’équipe de Fair-Play m’a confié avoir eu le Go! pour cette production. On m’a alors proposé de l’animer. Même si je n’avais jamais pensé à cette éventualité, j’avais très envie d’accepter ce mandat.»
Une première animation à la télé
L’artiste précise cependant qu’il n’envisage pas d’orienter sa carrière vers l’animation. «J’ai accepté de faire ça parce que j’aime vraiment ce showlà. C’est aussi pour moi une rare occasion de discuter avec des artistes invités dans un contexte qui me divertit au plus haut point. Je trouve ça très drôle de leur poser des questions pertinentes, tout en faisant quelque chose d’un peu niaiseux, comme manger des ailes de poulet nappées de sauces ultra piquantes.»
Des invités trisés sur le volet
Afin de vivre avec lui cette expérience à la fois comique et un peu souffrante, Marc-André Grondin a pris le temps de bien sélectionner ses invités. «J’ai choisi, avec l’équipe de production, les 10 invités qui se présentent devant moi. Pour chacun d’eux, j’ai préparé 10 questions que j’ai développées à partir d’un dossier de recherche de 50 pages. J’avais envie d’avoir du fun avec des gens que j’aime et que j’apprécie.» À noter que, parmi les heureux élus, se trouvent Katherine Levac, Christine Morency, Stéphane Rousseau, Pier-Luc Funk et bien d’autres.
Entre questions et sauces piquantes
Dans le cadre de Hot Ones Québec, conversation enflammée, l’animateur doit mener ses entrevues, tout en consommant les mêmes 10 sauces piquantes que ses invités, dans un ordre allant de la moins forte à la plus insupportable. «Contrairement à mes invités, je connais bien le goût de chaque sauce et son effet précis. Je sais donc à quoi m’attendre lorsque vient le temps d’y goûter. Je ne cacherai pas que, plus mon invité en arrache, plus je trouve ça drôle.» À noter que l’animateur et ses convives ont à leur disposition des verres de lait, des bonbonnes de crème fouettée et des quartiers de citron, ce qui les aide à passer à travers cette épreuve brûlante.
Pour sa part, Marc-André Grondin reste en plein contrôle de ses moyens. «Je gère la situation en me disant que l’effet de brûlure va passer. Je me concentre avant tout sur mon invité et ses réactions. Ça me permet ainsi de mieux rebondir et de trouver le bon moment pour poser mes questions. C’est un jeu psychologique qui peut parfois s’avérer difficile. J’ai beaucoup de plaisir à faire ça! Je laisse d’ailleurs la porte ouverte à une deuxième saison, si l’occasion se présente», conclut-il.
«Ça fesse fort» – Stéphane Rousseau
De passage sur le plateau de Hot Ones Québec, conversation enflammée, Stéphane Rousseau ne cache pas avoir trouvé son expérience de tournage difficile. «J’ai accepté tout de suite d’y participer, car j’aime beaucoup Marc-André. J’ai aimé mon aventure, mais je ne m’attendais pas à ce que le goût des sauces soit aussi puissant. Chaque sauce a sa particularité. La huitième, qui se nomme Da’Bomb (la bombe), est la pire de toutes. J’avais l’impression de me faire perforer la bouche de petites aiguilles. L’effet est instantané. C’est très impressionnant. Ça fesse fort!» À noter que la moitié des sauces testées lors des tournages sont d’origine québécoise.
Les 10 émissions de 30 minutes de la première saison de Hot Ones Québec, conversation enflammée, seront disponibles en exclusivité sur la plateforme Vrai, à compter de l’automne.
