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Culture

Célibataire depuis cinq ans, Pénélope McQuade est prête à retrouver l’amour

Sebastien Sauvage / TVA Publications
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Samuel Pradier et Marie-Ève Leclerc

2025-04-27T10:00:00Z
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Depuis six saisons, Pénélope Mcquade anime son magazine de société quotidien à ICI Première. un mandat intense et très prenant, dans lequel elle décortique l’actualité et ses enjeux ainsi que les nouvelles tendances. Mais l’animatrice réfléchit déjà à la suite.

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Pénélope McQuade sait déjà qu’elle sera de retour à l’antenne d’ICI Première, à la rentrée, pour la septième saison de son émission matinale. «Pour moi, c’est une job de rêve et ça ne se dément pas. En plus, après six ans, il y a une décontraction et une confiance. Je suis plus heureuse que jamais, et j’en profite. Il y a moins d’insécurité, plus de liberté, et le public est au rendez-vous.» Reste que la charge de travail est pas mal intense pour l’animatrice qui lit tous les livres, voit tous les films de ses invités, et consulte tous l es rapports scientifiques pour vulgariser le mieux possible les enjeux qu’elle aborde. «Je me demande comment je pourrais moins me préparer... Mais c’est impossible, c’est le mandat de l’émission et je dois le faire. Heureusement, je n’ai pas de chum et pas d’enfant, ça me permet de travailler quand je veux, c’est-à-dire pas mal tout le temps. Et comme tous les sujets m’intéressent, ce n’est pas difficile.» 

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L’animatrice reconnaît que cette émission est arrivée au bon moment dans sa vie. «C’est bien que ce mandat m’ait été confié dans la cinquantaine, parce que je pense que je n’en aurais pas autant profité avant, je n’aurais pas su quoi faire de tout ça. Déjà que je me sentais comme un imposteur en arrivant, il y a six ans. À 40 ans, la situation aurait été pire. Ça tombe parfaitement bien dans ma vie, mais ce n’est pas juste un travail, c’est une mission de vie.»

ET APRÈS... 

Même si les cotes d’écoute sont bonnes et que Pénélope a la pleine confiance des patrons de Radio-Canada, elle tente parfois de se projeter dans l’avenir. «Je réfléchis à ce que je pourrais faire après cette émission, parce que je ne pourrai pas tenir ce rythme-là éternellement. Je sens déjà l’usure des années, car l’actualité est lourde. Ce n’est pas un manque d’intérêt; plutôt une certaine usure.» 

Mais elle n’a pas encore de véritables réponses à son questionnement. «J’ai le goût de retourner à l’université. Pas pour en faire quelque chose, mais juste dans le but d’apprendre de nouvelles choses. J’ai encore le goût de la télé, mais je ne sais pas quoi y faire. Actuellement, je fais de longues entrevues, et je pense que j’aurais beaucoup de difficulté à refaire des entrevues de huit minutes entre deux pubs. J’aurais aussi envie de faire du documentaire, mais ce n’est pas du tout payant, et c’est vu par peu de gens.» 

L’écriture pourrait un jour faire partie de ses champs d’exploration. «Je trouve ça tellement laborieux d’écrire, même si je lis beaucoup. J’aime bien vulgariser les choses, mais la création me fait peur. M’asseoir devant une page blanche me terrorise. En même temps, j’ai toujours dit que professionnellement, j’allais vers ce qui me faisait peur. Ce sera peut-être ma prochaine carrière.»

OUVERTE À L’AMOUR 

Dans sa vie personnelle, Pénélope se dit prête et ouverte à rencontrer quelqu’un après quelques années de célibat. «Il faut que ça cesse un moment donné, ça fait cinq ans! En ce moment, c’est parfait, il fait encore frais et j’ai envie d’hiberner, mais ça pourrait être mon projet d’été! (rires)» 

Quant à son père, Winston McQuade, elle affirme qu’il va toujours bien. «Il est en pleine forme! Je suis pleine de gratitude qu’il soit en forme à 81 ans, avec toute sa tête, son corps. Il est super allumé et bien entouré. On s’occupe bien de lui», conclut-elle, en parlant de sa conjointe, Sylvie, de ses deux frères et d’elle-même.

Pénélope McQuade anime l’émission Pénélope en semaine, de 9 h à 11 h 30, à ICI Première.

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