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«Ce duo-là va être quelque chose»

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TVA Sports

2023-02-08T18:22:40Z
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Le nouvel attaquant-vedette des Islanders de New York, Bo Horvat, va former toute une association avec le centre Mathew Barzal.

Hier, c’est justement Barzal qui lui a remis la rondelle avant qu’il ne marque son premier filet dans l’uniforme des «Insulaires». Ce n’est que le premier de plusieurs buts du genre, a estimé un ancien coéquipier d’Horvat, Antoine Roussel, à «la Poche Bleue le midi», aujourd’hui. 

«La première chose que je me suis dite quand je les ai vus jouer ensemble, c'est "oh boy, ce duo-là va être quelque chose", a lancé Roussel. Et ils (les Islanders) ont quand même un noyau de jeunes joueurs qui est prometteur (...) ils vont être capables d'étirer la sauce encore quelques années.»

«J'ai l'impression qu'il va se passer quelque chose de bon, mais ça, c'est seulement s'ils font les séries», a-t-il également mentionné au sujet des Islanders.

Heureux pour Bo, mais...

Roussel, donc, connaît bien Horvat pour avoir évolué à ses côtés pendant trois saisons avec les Canucks, qui l’ont échangé aux Islanders il y a quelques jours alors qu’il était clair que l’attaquant de 27 ans ne voulait plus rester en Colombie-Britannique.

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Horvat a, depuis, signé une onéreuse prolongation de contrat de huit ans d’une valeur de 68 millions $ avec les Islanders.

«Je suis content pour Bo, il a livré la marchandise et a fait ce qu'il devait faire pour obtenir ce contrat», a souligné Roussel.

«Ce que j'aime moins, c'est sa réaction de dire "j'aurais été un Canuck pour la vie", a-t-il ajouté. Écoute, Bo, ils t'ont offert, assurément, entre 7,5 et 8 (millions $ par année) et tu es en train de nous dire que c'est eux qui ont pris la décision de ne pas te garder? Un moment donné, il faut mettre un peu d'eau dans son vin. Patrice Bergeron voulait être un Bruin à vie, il l'a été. Essaie pas de nous dire des choses qui n'existent pas. Ça m'a fatigué un petit peu.»

Cela dit, il ne lui en veut pas réellement. Les choses ne tournent pas rond à Vancouver. 

«Si je me mets complètement dans ses souliers, je peux comprendre qu'il ait voulu sortir de là, a admis Roussel. Quand tu regardes la situation, comment les 24 derniers mois ont été gérés à Vancouver, c'est à se gratter la tête.»

«Un moment donné, tu peux être tanné de toujours devoir répondre de tout ce qui est autour de la glace et pas seulement ce qui se passe dessus, a-t-il également mentionné. Ça devient pesant. C'était le capitaine de l'équipe.»

À voir en vidéo principale.

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