Bruno Marcil raconte avoir été marqué par le combat de sa mère contre la schizophrénie
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Agence QMI
Lors d’une entrevue accordée à QUB radio, Bruno Marcil raconte avoir été marqué par le combat de sa mère contre la schizophrénie, au point de s'impliquer.
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«Ma mère souffrait d’une forme de schizophrénie. Elle a presque été dans la rue», a raconté le comédien, jeudi au 99,5.
«C'est très, très, très compliqué d'aider quelqu'un qui a une maladie mentale. [...] Ma mère, à l'époque, il n'y avait pas de soutien tant que ça», a ajouté l'interprète de Daniel dans STAT.
Cette histoire est l’un des facteurs qui l’ont motivé à représenter le PAS de la rue, un organisme qui vient en aide aux personnes de 55 ans et plus en situation de grande précarité. L’organisation a d’ailleurs été frappée de plein fouet par la crise de l’itinérance qui ravage tout le Québec.
«Les chiffres sont assez hallucinants, parce que la clientèle du PAS de la rue a doublé depuis l’an passé», a-t-il dit.

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«Il manque un investissement à tous les niveaux»
Devant la hausse de la demande, de nombreux organismes prendront part à une grande marche, le 22 février, visant à amasser des fonds pour les aider dans leur lutte contre l’itinérance.
«Il manque un investissement gouvernemental majeur. Il manque un investissement à tous les niveaux. Donc, c’est pour ça que je suis là, c’est pour ça qu’on fait cette marche-là et c’est pour ça qu’on invite la population à aider, à venir aussi [pour] être bénévole», a rappelé Bruno Marcil.
En effet, la problématique est de plus en plus visible, notamment dans le métro de Montréal, où 60% des interruptions de service sont liées aux personnes en situation d’itinérance qui sont souvent sous l’emprise de la drogue, de l’alcool, ou en état de désorganisation, selon des données citées par La Presse.
«Oui, il y a la schizophrénie, la bipolarité. L’alcoolisme fait partie des maladies qui sont très difficiles à gérer pour l’entourage et pour la personne qui en souffre. Et c’est ça qu’on voit dans nos rues, dans les métros, et c’est beaucoup de gens qui souffrent de maladies mentales. Alors, c’est pour ça qu’il faut se mobiliser. Il faut faire quelque chose pour aider tout ça», a ajouté le comédien.
Voyez l’entrevue complète ici:
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