Publicité
L'article provient de TVA Nouvelles
Culture

Blake Lively aurait empêché Justin Baldoni d’assister à la première de «Jamais plus»

Photo AFP / GETTY IMAGES
Partager

Cover Media

2025-01-02T14:07:34Z
Partager

Justin Baldoni affirme que Blake Lively a tenté de l’empêcher d’assister à la première de son film Jamais plus.

• À lire aussi: Controverse du film Jamais plus: Blake Lively poursuit officiellement sa covedette Justin Baldoni

• À lire aussi: Scandale autour de Blake Lively: voici ce qui se passe

Selon un procès en diffamation de 250 millions de dollars intenté au New York Times par le réalisateur et comédien, la star de Gossip Girl l’aurait «systématiquement mis à l’écart» de la commercialisation de son propre film.

«Lively a d’abord refusé de l’autoriser à assister à la première du film», lit-on dans le dossier judiciaire obtenu par le New York Post.

«Ce n’est qu’après de fortes pressions qu’elle a accepté à contrecœur de permettre à Baldoni et à l’équipe de Wayfarer [studio de production] d’y assister, mais dans des conditions humiliantes».

Justin Baldoni, qui a réalisé le film et y a partagé la vedette avec Blake Lively, a poursuivi en affirmant qu’il avait été «séparé» de ses coéquipiers.

«L’équipe de Wayfarer et leurs familles, y compris Baldoni et [le producteur Jamey] Heath, ont été séparés de la distribution principale, interdits d’accès à l’after-party exclusif et forcés d’organiser leur propre événement à un coût supplémentaire», indique la plainte, ajoutant que Blake Lively aurait tenté d’ostraciser le plaignant et ses proches lors de l’avant-première.

«La participation de Baldoni au tapis rouge a été écourtée, et sa famille et ses amis ont été confinés dans une zone de détention improvisée au sous-sol avant d’être escortés dans une salle de cinéma séparée après le départ de Lively», est-il précisé.

«Non seulement Lively a volé le film, mais elle a aussi privé Baldoni et son équipe d’une véritable occasion de célébrer leur dur labeur.»

En réponse, les avocats de l’épouse de Ryan Reynolds ont déclaré au Post: «Rien dans ce procès ne change quoi que ce soit aux affirmations avancées dans la plainte du département californien des droits civils de Mme Lively ni dans sa plainte fédérale».

Publicité
Publicité