Austin Butler a craqué durant le tournage d’Elvis!

Il n’est pas toujours facile d’être une star, et Austin Butler est bien placé pour le savoir. Le tournage très exigeant du film Elvis a mis les nerfs du Californien à rude épreuve.  

Le comédien a récemment fait des confidences inattendues dans le magazine VMAN. Austin a en effet révélé avoir été malmené par l’équipe de tournage du biopic Elvis, et ce, à la demande de Baz Luhrmann. Pour obtenir la meilleure performance possible de la part d’Austin, le réalisateur a décidé de réunir les gros bonnets du film dans un studio d’enregistrement pour s’acharner contre lui. «Il leur a dit de me harceler, a affirmé l’acteur. Ils se sont donc moqués de moi pendant que je chantais.» Austin a cependant tenu à justifier cette méthode plutôt draconienne. «Durant cette scène, Elvis monte sur scène à ses débuts et doit faire face aux insultes du public. J’ai donc compris comment il s’est senti», a-t-il expliqué avant d’ajouter: «Je suis retourné chez moi en pleurant ce soir-là.»

Une belle obsession

Il faut préciser qu’Austin ne s’attendait pas à vivre une expérience aussi traumatisante, d’autant plus qu’on lui avait promis un enregistrement «très décontracté». «Ç’a été tout le contraire, souligne la vedette. J’étais vraiment nerveux! Nous devions travailler de façon old school avec des musiciens de haut calibre.» Ce n’était pas la première fois qu’Austin avait à endurer les caprices du cinéaste: Luhrmann a tenu à changer sans préavis le bout d’essai prévu pour l’acteur et lui a fait passer des auditions pendant cinq mois. «Il a commencé la production alors que j’étais encore en train de tout apprendre, a-t-il dit par ailleurs à l’émission de Kelly Clarkson. J’en ai vu de toutes les couleurs! Il a vraiment voulu tester mes limites.» Toutefois, Austin a montré qu’il était à la hauteur des attentes et les nombreux mois passés en Australie, durant et après le tournage, lui ont somme toute été salutaires. «Je suis très reconnaissant d’avoir collaboré à ce film, a-t-il mentionné dans le magazine VMAN. Mon obsession pour Elvis m’a donné une raison de me lever chaque matin.»