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Culture

Audrey Roger remercie Sortez-moi d’ici! qui l’a aidé à s’ouvrir aux gens

PHOTO COURTOISIE
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Nathalie Slight

2024-05-13T22:00:00Z
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En plus de composer avec la chaleur extrême, la faim, le manque de sommeil, les serpents et autres bibittes de la jungle panaméenne, des personnalités affrontent leurs plus grandes peurs à Sortez-moi d’ici!. Au petit écran, Audrey Roger campe des jeunes femmes rebelles ou tourmentées: tout le contraire de la pétillante jeune femme qu’elle est dans la vie!

• À lire aussi: Rosalie serait-elle sur le point de se faire démasquer à Sortez-moi d’ici!?

Audrey, que retiens-tu de l’aventure Sortez-moi d’ici!?

Je m’attendais à relever des défis, affronter des peurs, me dépasser physiquement, mais j’avais sous-estimé l’aspect social. Mon séjour dans la jungle m’a fait réaliser que je suis capable de trouver ma place dans un groupe, de m’ouvrir aux autres, de me confier, de me lier facilement d’amitié.

Ça semble te surprendre!

Oui, beaucoup. Je suis quelqu’un de plutôt discret dans la vie, qu’on doit habituellement apprivoiser. À Sortez-moi d’ici!, j’ai vécu un coup de foudre amical avec Rosalie Vaillancourt. Les autres campeurs nous surnommaient les jumelles, c’est tout dire! (rires) Rosalie et moi avons commencé l’aventure avec Dave Morissette, et il nous a immédiatement prises sous son aile.

PHOTO FOURNIE PAR TVA
PHOTO FOURNIE PAR TVA

Tu as eu de superbes conversations avec lui, notamment sur le deuil puisque, tout comme le tien, son papa est récemment décédé.

D’infimes portions de nos discussions ont été montrées à l’écran — sûrement pour préserver notre jardin secret —, mais nous avons jasé énormément, Dave et moi. Même chose avec les autres campeurs. C’est justement l’un des aspects que j’ai le plus apprécié de Sortez-moi d’ici!. Comme nous n’avions pas accès à nos cellulaires, tout ce qui nous restait pour nous divertir, c’était de parler entre nous!

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Tu campes souvent des rôles de jeunes femmes rebelles ou tourmentées. On n’a qu’à penser à l’adolescente anorexique dans Les bracelets rouges, à la joueuse de tennis en déclin dans Virage: Double faute ou à la jeune femme droguée dans Anna et Arnaud. Ces personnages sont tellement loin de celle que tu es dans la vraie vie!

Merci! Un de mes objectifs, en participant à Sortez-moi d’ici!, c’était justement de mettre en avant ma vraie personnalité, de montrer la jeune femme drôle et pétillante qui se cache derrière mes personnages. J’aime la vie, j’ai le bonheur facile, et c’est peutêtre pour ça que je décroche des rôles qui me demandent d’aller dans des zones plus sombres, parce que cette énergie-là est loin de moi.

Avant de devenir comédienne, tu as été joueuse de tennis de compétition. Ton passé d’athlète t’a-t-il servi à Sortez-moi d’ici!?

Bien sûr! La compétitrice que je suis n’est jamais bien loin, et on l’a vu à chacun des défis auxquels j’ai participé. Par contre, j’ai une phobie des grenouilles. D’ailleurs, lorsque je suis entrée dans l’hôtel aux cauchemars avec Alex Perron, j’ai failli crier: «Sortez-moi d’ici!» Si Alex n’avait pas été avec moi, j’aurais certainement abandonné.

PHOTO COURTOISIE Felix Renaud
PHOTO COURTOISIE Felix Renaud

D’où te vient cette peur des grenouilles?

Je n’en ai aucune idée! Je sais qu’elles ne peuvent pas me faire mal, mais j’ai un dégoût profond pour cet animal visqueux, et ça va bien plus loin que cette bestiole. Il s’agit d’une peur totalement irrationnelle que j’ai pu affronter à Sortez-moi d’ici!.

• À lire aussi: Complètement pétrifiée, Audrey Roger fait face à l'une de ses grandes phobies ce dimanche à Sortez-moi d'ici!

En terminant, qu’est-ce qui t’occupe en ce moment?

Je démarre les tournages de Denis Danger, une nouvelle série jeunesse à Télé-Québec, destinée aux 9 à 12 ans. Et je serai aussi de la prochaine saison de la série Alertes, dans laquelle je vais incarner une ballerine, moi qui ai toujours rêvé de faire du ballet classique!

• À lire aussi: Philippe Laprise et Dave Morissette animeront ensemble

Sortez-moi d’ici!, dimanche 18 h 30, à TVA.

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