Anick Lemay lance un cri du coeur et demande l'aide du public pour sauver son restaurant
Vanessa Hébert
Anick Lemay avait une demande bien particulière et chère à ses yeux à faire à ses abonnés: elle amasse des fonds pour sauver son restaurant.
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C'est dans ses stories, sur Instagram, que la comédienne a indiqué solliciter l'aide du public pour ne pas avoir à mettre la clé dans la porte du Mam'zelle, un restaurant qu'elle a ouvert en 2014 à Magog avec sa soeur, Roxanne, et leur mère, Diane.
Celle qu'on a pu voir récemment dans la deuxième saison d'Aller simple a lancé une campagne de sociofinancement sur la plateforme GoFundMe afin de ramasser 100 000$ pour s'assurer de la pérennité de l'établissement.
En description, Anick Lemay explique un peu l'histoire du Mam'zelle, jusqu'à ce qui a mené à ce cri à l'aide: les dernières années ont amené leur lot de complications pour l'endroit: la revitalisation du centre-ville de Magog qui a été difficile pour les commerçants, la pandémie, le manque de personnel et l'inflation.
C'est pourquoi, à quelques jours de devoir remettre le prêt de 40 000$ du gouvernement, Anick et sa famille demande un (gros) coup de pouce.
Voici son texte complet:
«En 2014, nous avons réalisé un rêve: ouvrir notre resto! Comme tu t’imagines, on y a mis tout ce qu’on avait de jus, de bras, de coeur. En famille. Parce que c’est ça le Mam’zelle: une histoire de famille. Ma soeur Roxanne, ma mère Diane et moi, Anick. Les premières années sont houleuses mais dès 2018, notre lieu explose! C’est bon dans bouche, c’est beau, c’est chaleureux! Te dire le bonheur!
2019: la ville de Magog « éventre » le centre-ville. Catastrophe pour les marchands...
2020-21-22: pandémie et perte de brigade...:(
2023: manque de personnel + inflation.
Le 18 janvier prochain, on doit rembourser le 40K que le gouvernement nous avait donné pour rester à flots. On l’a pas. On était trop petites quand tout ça a commencé... on n’avait pas de bas d’laine...
si on demande 60K de plus, c’est pour payer nos fournisseurs et nos employés parce-que Magog, l’hiver, c’est tranquille... et surtout, s’assurer de pouvoir offrir un salaire digne de ce nom à notre prochain.e chef.fe.
Merci de ton aide.
Si par quelconque chemin tu viens manger chez nous, dis-nous « 107 » nous saurons que tu nous a aidé à nous relever:)»
Voici le lien de la campagne.