Alex Perron revient sur le défi qui l’a rendu le plus fier à Sortez-moi d'ici!
Nathalie Slight
En plus de composer avec la chaleur extrême, la faim, le manque de sommeil, les serpents et autres bibittes de la jungle panaméenne, des personnalités affrontent leurs plus grandes peurs à Sortez-moi d’ici!. Alex Perron s’est révélé un véritable Rambo lors des défis, à la grande surprise de tous, et surtout de lui-même!
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Alex, parmi tous les campeurs de la saison, tu es certainement celui qu’on ne s’attendait jamais à voir à Sortez-moi d’ici!.
Lorsque la production m’a contacté pour m’offrir de participer à Sortez-moi d’ici!, je n’ai pas hésité une seule seconde: c’est exactement mon genre d’aventure. J’ai tellement aimé ça que j’y retournerais demain matin, même si je suis un véritable appât à moustiques. J’ignore pourquoi, mais ils se garrochent tous sur moi! (rires)
Qu’as-tu autant aimé de cette aventure?
J’aime sortir de ma zone de confort, participer à des activités inusitées et avoir peur. C’est certain que je vais chialer durant les défis, mais j’adore ça quand même! (rires) Le public ne s’attendait pas à me voir débarquer dans la jungle parce que je suis coquet et parce que je porte une attention particulière à mon look. Mais c’est totalement l’inverse. En voyage, je suis tout le temps le premier à vouloir goûter aux mets de la région, à faire une activité full adrénaline. Je ne veux pas me coucher le soir avec des regrets, je veux avoir des anecdotes à raconter! (rires)
De quel défi es-tu le plus fier à Sortez-moi d’ici!?
J’ai participé à un défi où je devais rester accroché à un poteau avec un harnais qui me tirait vers l’arrière. L’autre campeur qui était dans la même position que moi, c’était Sébastien Toutant. Il faisait extrêmement chaud et, pris dans cette position inconfortable, le temps passait à la vitesse d’une tortue. Pourtant, je n’ai pas lâché! En fait, ma motivation première, c’était de battre un athlète olympique pour une fois dans ma vie! (rires)
Tu as vécu un super beau moment avec Audrey dans l’Hôtel aux cauchemars!
Cette épreuve était un combo de tout ce qu’il y a de plus dégueulasse à Sortez-moi d’ici!: des bibittes, des odeurs nauséabondes, des chaudières d’affreux liquide qui sont déversées sur nous. Lorsqu’Audrey est entrée dans une pièce remplie de crapauds, son corps s’est mis à trembler de manière incontrôlable.
C’est vrai, elle a une véritable phobie des crapauds!
Je lui ai pris la main, je l’ai rassurée, et nous avons réussi ce défi ensemble. Pas question d’abandonner: c’était pour gagner le privilège de manger du spaghetti au souper avec les autres campeurs! Je me sentais comme un véritable Rambo dans cet Hôtel aux cauchemars. Rien ne viendrait à bout de moi! En sortant, la pression est retombée. Audrey et moi, nous passions du rire, aux pleurs, au rire... de vrais hystériques! Au moment de la diffusion, nous nous sommes texté, pour nous dire combien ce moment restera à tout jamais gravé dans nos mémoires.
L’amitié se développe à vitesse grand V à Sortez-moi d’ici!. Pourquoi, selon toi?
En état de survie, on crée des liens hyper rapidement. J’ai débuté l’aventure avec Clodine Desrochers, en séjournant sur l’île Caïman. Je connaissais un peu Clodine, pour l’avoir croisée à quelques reprises. Mais j’ai appris à connaître une femme dotée d’un excellent sens de l’humour et d’une bienveillance extraordinaire. Gros coup de coeur pour elle, et pour les autres campeurs aussi! Nous avons vécu quelque chose d’unique à Sortez-moi d’ici! et, sincèrement, ça nous a soudés pour la vie!
ANECDOTE DE TOURNAGE...
«Je regarde rarement les émissions dans lesquelles j’apparais; parce que j’ai déjà vécu l’expérience, je ne ressens pas le besoin de la revivre une deuxième fois. Mais avec Sortez-moi d’ici!, c’est différent, parce que je veux voir les épreuves des autres campeurs, je veux entendre les confessionnaux, les commentaires des animateurs.»
POUR LA CAUSE
Je suis ambassadeur de Mères avec pouvoir, un organisme montréalais qui aide les mères de famille monoparentale à reprendre leur vie en main, en leur donnant accès à une foule de services. Moi qui ai été élevé par une maman seule, c’est une cause qui me tient à coeur!
Sortez-moi d’ici!, dimanche 18 h 30, à TVA.
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