Alanis Désilets répond à la controverse entourant son projet «La Troop»
Billie .ca
Depuis la sortie de son grand projet «La Troop», Alanis Désilets a fait face à beaucoup de critiques et elle y a finalement répondu sur Instagram.
La Troop, selon la description qu’en fait Alanis, c’est à la base une boîte mensuelle qui vise à soutenir les femmes dans leur quête d'un mode de vie sain, mais c'est aussi une communauté d'entraide.
La boîte contient un calendrier pour bouger et prendre soin de soi, des idées de recettes, des échantillons de produits, et plus encore.
Peu de temps après que Alanis ait dévoilé le contenu de la première boîte, la blogueuse Jessica Prudencio a publié un billet dans lequel elle exprime quelques critiques face à La Troop.
Jessica déplore, tout d'abord, le manque de diversité culturelle dans les photos promotionnelles de La Troop.
Elle se dit aussi inquiète que le principe des cheat days (des journées où on se donne le droit de manger ce qu’on veut et donc de déroger à sa diète) puisse causer des troubles alimentaires chez les plus jeunes. Finalement, Jessica met de l’avant un produit «coupe-faim» de la marque Believe qui se retrouve dans la boîte, et le fait qu'Alanis semble avoir supprimé des commentaires à ce sujet sur Instagram.
Vous pouvez lire le billet de Jessica juste ici.
Alanis a pris un moment pour répondre à ses critiques, mais c’est finalement le lendemain de la publication de Jessica qu’elle a répondu dans une suite de stories sur Instagram.
Tout d’abord, Alanis accepte la responsabilité sur le manque de diversité. Elle avoue avoir fait appel à ses amies disponibles pour la séance photo, un peu à la dernière minute. Elle dit qu’elle aurait dû prendre le temps de bien faire les choses et de faire appel à des femmes différentes.
Ensuite, elle dit qu’elle a, en effet supprimé, les commentaires négatifs, et ce, parce qu’elle se sentait attaquée. Elle regrette ce geste qu’elle qualifie de «bébé lala».
Elle passe ensuite au produit Believe, qu’elle décrit comme un booster d’énergie pour l’entraînement, et non un coupe-faim. Alanis dit qu’elle aurait dû considérer aussi cet aspect du produit, bien qu’elle ne l’utilise pas à ces fins.
Alanis termine en disant qu’elle voulait que ce projet soit une communauté qui s'entraide, alors elle est ouverte aux suggestions qui se font dans le respect. Elle voulait que ce soit un projet positif et est désolée du négatif qui en ressort.
À suivre!