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L'article provient de Clin d'oeil
Style de vie

Voici 10 choses que vous ne savez (probablement) pas sur le VPH

Getty Images/iStockphoto
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Clin d'oeil

2021-05-10T16:30:00Z
2021-05-10T16:50:50Z
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Mis à part quelques mentions durant des cours d’éducation sexuelle ou de biologie au secondaire, on a souvent assez peu entendu parler du virus du papillome humain (VPH). Est-ce votre cas?

Pourtant, ce virus cause presque tous les cas de cancer du col de l’utérus. Les vaccins contre le VPH, tel que GARDASIL® 9, peuvent aider à prévenir certains types de cancers ou de maladies liés au VPH.

Parce qu’il vaut mieux être informée qu’infectée, voici 10 infos clés à retenir sur le VPH. 

1. Ce virus cause l’infection transmise sexuellement (ITS) la plus courante sur la planète.

La famille du VPH compte plus de 200 types de virus, dont environ 40 affectent la région génitale. Le VPH se transmet par contacts sexuels, qu’il y ait pénétration ou non, et infecte aussi bien les hommes que les femmes. 

2. Le VPH cause presque la totalité des cas de cancer du col utérin.

La plupart des personnes infectées par le VPH parviendront à l'éliminer, mais lorsque le virus ne se résorbe pas de lui-même, des lésions précancéreuses peuvent se développer à travers le temps et évoluer vers un cancer tel que le cancer du col de l'utérus. Parmi les types de VPH, on retrouve les VPH à faible risque — dont certains causent des verrues génitales (condylomes) — et les VPH à risque élevé — susceptibles de causer certains cancers.

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3. On diagnostique environ 1400 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus chaque année au pays.
Ce type de cancer prend naissance dans les cellules du col de l'utérus (partie inférieure et étroite de l'utérus, qui sert de passage reliant l'utérus et le vagin). 

4. Près de 75 % des Canadiens et des Canadiennes sexuellement actifs souffriront au moins d’une infection au VPH au cours de leur vie.
Une personne peut être infectée par plus d’un type de VPH au cours de sa vie. Il suffit d’un seul partenaire infecté pour contracter le virus.

5. Oui, c’est possible de contracter le virus même avec un partenaire stable!
Quiconque est sexuellement actif est à risque de contracter le VPH. Puisque l'infection ne présente souvent aucun signe ou symptôme, vous ne pouvez donc être en mesure de dire si votre partenaire ou vous êtes infectés.

Que vous soyez en union stable depuis plusieurs années ou que vous ayez eu des enfants, il est tout de même possible de contracter le VPH.

6. Le test de Pap peut aider à dépister un cancer du col de l'utérus 

Lorsqu'une femme est infectée par certains types de VPH et que le virus ne se résorbe pas seul, des cellules précancéreuses peuvent se développer. Les tests de Pap permettent de dépister ces cellules anormales dans le col de l’utérus. Dans le cas où elles ne sont pas détectées tôt, puis traitées, un cancer du col de l'utérus peut se développer. 

7. Le cancer du col de l’utérus est le troisième cancer le plus diagnostiqué chez les Canadiennes de 20 à 40 ans.
Beaucoup de femmes dans ce groupe d’âge n’éprouvent toujours pas le besoin de parler de VPH. Or même si elles sont en union stable avec le même partenaire, le virus peut tout de même être en dormance depuis plusieurs années chez l’une des personnes du couple.

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8. On diagnostique d’ailleurs environ quatre cas de cancer du col de l'utérus par jour au Canada!

Il est possible d'aider à prévenir le cancer du col de l’utérus grâce à un vaccin. Discutez avec votre professionnel de la santé des mesures de prévention contre le VPH et si la vaccination avec GARDASIL®9 vous convient. 

9. Le VPH pourrait entraîner d’autres types de cancers.

On parle notamment du cancer de la vulve, du cancer vaginal et du cancer anal. Les VPH de types 6, 11, 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58 sont responsables d'au moins 75 % des cancers de la vulve, du vagin et de l’anus, ainsi que des lésions précancéreuses associés au VPH. 

10. Il existe des mesures de prévention pour aider à se protéger du VPH et d’autres types de cancer causés par celui-ci.

Limiter le nombre de partenaires sexuels, utiliser le condom, cesser de fumer et se faire vacciner sont des mesures qui peuvent aider à prévenir l'infection par le VPH. En plus d’offrir une protection contre neuf types de VPH responsables d’environ 90 % des cas de cancers de l'utérus, le vaccin GARDASIL®9 aide à prévenir deux types de VPH causant 90 % des verrues génitales. Si vous avez été infecté par l’un des types de VPH contenus dans le vaccin, GARDASIL®9 peut tout de même vous aider à vous protéger contre les huit autres types. 

Vous passez bientôt chez le médecin? Prenez le temps de discuter du VPH et des mesures à prendre pour aider à vous protéger, comme le vaccin GARDASIL®9. Allez, prenez soin de vous pour l’année 2021!

En collaboration avec

 

Le GARDASIL®9 aide à protéger les femmes âgées de 9 à 45 ans contre les cancers du col de l’utérus, du vagin, de la vulve et de l’anus causés par le VPH de types 16, 18, 31, 33, 45, 52 et 58, ainsi que les verrues génitales causées par le VPH de types 6 et 11. Le GARDASIL®9 ne traite pas les infections par le VPH ni le cancer du col de l’utérus, et il peut ne pas apporter de protection complète à toutes les personnes vaccinées. C’est pourquoi les femmes doivent continuer de passer un test de routine pour le dépistage du cancer du col de l’utérus. Le GARDASIL®9 n’est pas recommandé chez les femmes enceintes. Il risque également de provoquer des effets secondaires et des réactions allergiques. 

® Merck Sharp & Dohme Corp. Utilisée sous licence.

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